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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 15:46

grossesse.jpgLes femmes ayant accouché par césarienne pour le premier enfant ont plus de risque de complications si elles choisissent d'accoucher par voie vaginale pour le second enfant, selon une étude australienne.

Parue mardi, cette étude a impliqué plus de 2300 femmes, dans quatorze maternités australiennes, qui se préparaient à donner naissance à leur deuxième enfant. La moitié d'entre elles a décidé d'accoucher normalement après avoir subi une césarienne pour leur premier enfant, tandis que l'autre moitié a choisi une nouvelle fois cette procédure chirurgicale.

Selon les auteurs de cette étude, les bébés nés par voie césarienne ont un risque plus faible de décès ou de complications graves (0,9%) que ceux nés par voie vaginale (2,4%). Même constat du côté des mamans. Selon l'étude parue dans la revue scientifique américaine PloS ONE (Public Library of Science), le risque d'hémorragie chez les mères ayant choisi la méthode chirurgicale s'élève à 0,8%, contre 2,3% pour les femmes ayant décidé d'accoucher par «voie basse».

«Jusqu'alors, on manquait de données complètes et précises pour mener une telle comparaison des avantages et risques de ces deux modes d'accouchement, après une césarienne pour le premier enfant», explique Caroline Crowther du Centre australien de recherche sur la santé des femmes et des nourrissons à l'Université d'Adelaide (Australie du Sud, principal auteur de cette recherche.

La césarienne n'est pas non plus sans risques

Si les résultats de cette étude vont aider les femmes et les médecins à prendre des décisions suite à un premier accouchement par césarienne, la pratique montre déjà que le recours à la méthode chirurgicale est préférable pour donner naissance au second enfant. La raison est simple: la cicatrice de la première opération peut se rompre sous l'effet des contractions utérines et entraîner des complications graves pour l'enfant et la mère. En France, «en cas d'antécédent de césarienne, l'accouchement a de nouveau lieu par césarienne dans près des deux tiers des cas (64,5 %)», révèle une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees).

Toutefois, il est important de remettre ces résultats en perspective. Tout d'abord, même si l'écart de risques est réel, les taux restent très bas. Ensuite, la pratique d'une césarienne n'est pas non plus sans risque. Jacques Milliez, gynécologue-obstétricien, membre de l'Académie nationale de médecine, interviewé par Le Figaro en novembre 2010, précisait que «le taux de complication respiratoire néonatale chez les enfants nés par césarienne est jusqu'à 40 fois plus élevé que chez ceux nés par voie naturelle». Pour les mamans, «le taux de mortalité et de morbidité sévère est trois fois plus élevé après césarienne qu'après accouchement naturel».

Ces risques connus n'empêchent pourtant pas les femmes d'y avoir de plus en plus recours. Pour preuve, en Australie, en Italie ou aux Etats-Unis, l'intervention chirurgicale représente plus de 30% des accouchements avec un taux record de 60% en Chine dans les milieux urbains. La France compte 20,3% d'accouchements par césarienne, selon une étude de la Drees, publiée en 2009.

 

Par figaro icon Caroline Piquet - le 14/03/2012

En cas de césarienne pour le premier enfant, l'accouchement par voie naturelle présente un peu plus de risques pour la mère et l'enfant lors des grossesses suivantes.
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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 14:43

1 - Faire un check-up chez le médecin
Consulter votre médecin, permettra de déterminer selon votre profil si vous devez changer certaines de vos habitudes (sport, alimentation, tabac...) afin d'optimiser vos chances d'être enceinte. Il est utile aussi, afin que tout se passe bien, de faire un contrôle gynécologique. Arrêtez la pilule trois mois avant de chercher à avoir un bébé pour bien préparer le « terrain » et rééquilibrer naturellement vos cycles.

2 - Faire souvent l'amour
Des rapports sexuels au minimum tous les 2 à 3 jours en période d'ovulation augmentent les chances d'être enceinte. En effet les spermatozoïdes ont une durée de vie estimée à 72 h.

3 - Arrêter les régimes
Les femmes suivant un régime trop restrictif peuvent présenter des troubles des cycles féminins voire une absence d'ovulation. Si vous souhaitez perdre du poids, le mieux est de faire un régime avant de chercher à avoir un bébé.

4. Se détendre
Le stress peut influer négativement sur la fertilité voire stopper l'ovulation. Se mettre au yoga ou à la sophrologie peut aider à se détendre et favoriser la procréation.

5. Choisir les meilleures positions
Privilégiez les positions où l'homme est sur la femme (type missionnaire) afin que la gravité agisse en votre faveur. Restez sur le dos quelques minutes après l'amour et évitez la douche juste après.

6 - Manger plus équilibré 
Fruits, légumes, viandes, poissons... Un régime alimentaire équilibré, riche en vitamines et minéraux prépare votre corps à une futuregrossesse.

7 - Rafraîchir votre homme
Trop de chaleur au niveau des parties génitales de votre homme nuit à sa production de spermatozoïdes. Il faut donc qu'il évite les pantalons trop serrés et les bains trop chauds.

8 - Repérer vos périodes de fécondité 
La période de l'année idéale pour concevoir un enfant est la fin de l'automne - début de l'hiver. A ce moment, les spermatozoïdes sont plus nombreux et plus mobiles. Pour la femme, il faut repérer  le moment de l'ovulation en prenant régulièrement sa température ou via des tests d'ovulation.

9 - Arrêter de fumer
Le tabac est néfaste pour la fertilité féminine (baisse de la réserve d'ovules, de sa qualité, hausse du délai de conception) mais aussi masculine (baisse de la qualité et de la quantité de spermatozoïdes). Selon la consommation de cigarettes, une fumeuse a de 10 à 30% de chances en moins d'être enceinte qu'une femme non fumeuse.

10 - Ne pas abuser de l'alcool et du café 
Boire plus de 2 verres d'alcool par jour nuit à la fertilité chez l'homme et la femme. Une consommation excessive d'alcool diminue aussi la libido. D'autre part, une consommation trop grande de café (6 tasses par jour) réduit aussi les chances d'avoir un enfant.

Article par Karen JEGO , le 08/03/2012 à 10h58 , modifié le 08/03/2012 à 11h09 

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 13:14
Publié par  , le 09 Mars à 05:52:07

 


Triste vie de certains  artistes béninois ! Alors que certains artistes se retrouvent à l’hôpital suite à un grave accident survenu il y a quelques semaines, c’est le quotidien Béninois ‘’Libération’’ dans sa livraison du vendredi 9 mars 2012 qui nous apprend à sa manchette ‘’ Triste vie des artistes Béninois : GG LAPINO arrêté ‘’ . GG LAPINO n'est plus à présenter, il a été d’ailleurs l'artiste le plus critiqué de l'année 2009-2010. Surnommé entre temps le ‘’prisonnier’’ même par les tous petits, le créateur du système ‘’Houiya’’ est depuis environs un mois locataire d’une des prisons de la République Fédérale du Nigéria. Tout a commencé par une affaire d’escroquerie et de drogue qui serait orchestrée par GG Lapino et son acolyte Madmelon (membre du groupe Nigérian Danfo Driver). Son arrestation fait suite à la plainte d’une dame victime de l’extorsion d’une colossale somme d’argent et de la vente de drogue, ce qui a amené alors les autorités nigérianes à lui mettre la main dessus pour les besoins d’enquête.Il faut noter ici qu’au cours de l’interpellation, Madmelon a trouvé la mort en recevant quelques balles. Pour la petite histoire GG LAPINO a été déjà une fois arrêté en France. Espérons que l’artiste retrouve rapidement sa liberté et faire danser ses fans.

 

http://www.notrezik.com

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 09:22

Face à la résistance des enseignants, le gouvernement contre-attaque. Des mesures restrictives sont annoncées. Mais en attendant, les ministres seront face aux populations pour leur expliquer une fois encore les mobiles de ces actions.



Le gouvernement à bout de souffle demande aux enseignants une pause, mais ils n’entendent pas fléchir et raidissent leur position. Les multiples explications, les réunions nocturnes n’ont visiblement pas fait perdre l’ardeur aux éducateurs qui s’accrochent mordicus à leur logique de départ qu’est l’attribution sans condition à tous les enseignants, du point indiciaire 1.25 du traitement salarial accordé aux Agents permanent de l’Etat. Pour eux, le décret est clair et il ne faudra pas s’en détourner. Pas question d’évoquer les crises exogènes ; c’est pour eux un refrain qui a fait son temps et le gouvernement doit mieux faire d’en chercher un autre de plus croustillant. Ainsi donc, ils sont sourds à toute concession et ne demandent que le règlement pur et simple de leur situation quoique cela coûte à l’Etat. Une manière pour eux de pousser le bouchon jusqu’ à l’extrême pour amener le gouvernement à courber l’échine sous le sceau de leurs intérêts corporatistes. Le fait à y voir de près, paraît un peu scandaleux pour qui connaît les efforts consentis par le gouvernement pour que les enseignants arrivent à ce stade. C’est aller trop loin que de dire que les enseignants ont la mémoire courte, mais c’en est pas pour autant exagéré, pour qui sait les efforts entrepris depuis 2006 à l’égard de cette corporation seule. En effet depuis son arrivée au pouvoir en 2006, le Président de la République Yayi Boni a placé le secteur de l’éducation au centre de ses priorités. En plus des actions menées sur le plan des infrastructures, le gouvernement a inscrit au nombre de ses priorités l’amélioration des conditions de vie des enseignants en procédant au relèvement du traitement salarial, au reversement de bon nombre d’enseignants contractuels en Agents permanents de l’Etat et d’agents occasionnels en agents contractuels de l’Etat. Un effort salué à l’unanimité par les enseignants en son temps qui s’en sont juste contentés sans savoir l’incidence financière de cette action sociale que le gouvernement a pris tous les risques de mener.

Le gouvernement las d’expliquer, sort le grand jeu

La démarche du gouvernement reste simplement attachée au souci d’arrêter la recréation et de placer chacun devant ses responsabilités. Mais il ne le fera pas sans sa légendaire démarche pédagogique qui consiste à expliquer aux populations l’intérêt des actions qu’il entend mener à l’encontre de certains éléments gênants de cette corporation. Dès demain déjà, des membres du gouvernement vont parcourir plusieurs localités du Bénin pour expliquer les efforts accomplis par le gouvernement, les motifs du blocage et les mesures qu’il entend prendre. Des explications seront données et les populations avec la grandeur de leur esprit de discernement sauront faire la part des choses. Après cette étape, le gouvernement convaincu de l’adhésion collective fera mettre fin à cette grève à travers les actions coercitives annoncées en Conseil des ministres. En effet, le gouvernement menace de suspension de salaires et de radiation des enseignants grévistes. Dès demain déjà, des forces de l’ordre seront déployées dans les collèges pour mettre fin à toute tentative de mobilisation de leurs confrères ou d’arrêt systématique des cours.

AT

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 09:30

Les informations avérées faisant état d’une évacuation sanitaire de l’ancien président de la République Mathieu Kérékou dans un hôpital de Paris ont été accueillies dans certains milieux au pays avec beaucoup de frayeur. Mais il n’y a vraiment pas de motifs à s’inquiéter pour ce septuagénaire, tente-t-on de faire croire dans son entourage.


 

Arrivé à Paris hier mercredi 29 février pour raison de santé, l’ancien président de la République Mathieu Kérékou, a été aussitôt admis à l’hôpital américain de Neuilly sur Seine. Selon nos informations, le général-président y a été évacué contrairement à ses habitudes, où il y va périodiquement de son propre chef pour subir un bilan de santé. Mais, il ne s’agit pas d’un check-up de routine, laissent croire certaines sources. Or, dans l’entourage du locataire des filaos, on ne tient pas le même langage. Dans le cercle très fermé de l’ancien président, composé de ses hommes de sécurité et ses proches parents, la présence de Mathieu Kérékou à l’hôpital américain de Neuilly sur Seine n’a rien d’inhabituel. « C’est un rendez-vous établi depuis longtemps », a confié un proche de l’homme. Ces informations contradictoires sur l’état de santé du général Mathieu Kérékou créent la confusion dans les esprits et renforcent les sentiments selon lesquels, l’homme du 26 octobre 1972 ne jouit plus d’une santé de fer et devient d’ailleurs difficile d’accès, voire absent de la scène. L’une de ses dernières apparitions publiques en date remonte au 06 avril 2011 à l’occasion de l’investiture du président Yayi Boni au stade Charles de Gaulle de Porto-Novo. Il s’était montré un peu plus solide qu’on l’avait vu quelques semaines plus tôt à son domicile sous les filaos à Cotonou, d’où il s’est prononcé sur la situation pré-électorale tendue. C’était à la veille de l’élection présidentielle. Il avait invité les acteurs politiques à viser l’intérêt général du pays et appelé les populations à aller accomplir leur devoir dans la sérénité. Loin des caméras et des micros, il n’apparait que lorsque le président de la République lui rend visite, comme il a eu à le faire à l’orée de l’année 2012. Agé de 79 ans, les couleurs du caméléon ne sont plus éclatantes et les informations qui circulent depuis hier ne font que le confirmer. Mais attention l’énigmatique personnage a le secret de réapparaître plus clinquant.

FN

 

 

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 09:29

Les Ecureuils du Bénin ont joué leur plus mauvais match hier à Addis-Abeba face à l’équipe de l’Ethiopie. La médiocrité de notre onze national mérite une profonde réflexion au plus haut niveau.

Les Ecureuils du Bénin ont déçu encore une fois les attentes du public sportif béninois. Mauvaises passes, mauvais dégagements, mauvais contrôles, absence de système de jeu, un seul tir cadré en 94 minutes, telles sont les images que nous ont présentées  les Ecureuils du Bénin face à l’équipe très athlétique de l’Ethiopie qui aurait pu faire un score fleuve  comme face aux  Eléphants en 2011. Et pourtant, on les prenait pour favoris pour ce match. Heureusement que Fabien Farnolle, le tout nouveau gardien de but béninois  a sorti le grand jeu qu’on lui connait à Clermont Foot pour sauver plus d’une dizaine de fois sa cage qui est restée inviolable. A voir cette prestation et la crise qui a secoué pendant longtemps le football béninois, il s’avère indispensable que le Chef de l’Etat prenne en personne l’avenir du sport national en main et le football en particulier, en initiant aussi des reformes dans toutes les disciplines sportives. Ceci emmènera notre pays d’ici quelques années à être une nation sportive.  Seules les reformes et les hommes qu’il faut à la place qu’il faut pourront nous amener à faire retentir l’hymne national du Bénin lors des grandes compétitions continentales et  internationales. Ainsi la jeunesse béninoise qui est étouffée par le mauvais rendement des Ecureuils, toutes disciplines confondues, pourra pousser un ouf de soulagement et sera vraiment reconnaissante au Chef de l’Etat, son Excellence Boni Yayi.

Ange GNACADJA
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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 09:25
Dans la nuit du mardi 28 février 2012, un incendie s’est déclaré au marché Gbégamey de Cotonou vers 23h30 et a occasionné d’énormes dégâts matériels. Beaucoup de hangars sont complètement consumés, mais aucune perte en vie humaine n’a été constatée. Les causes de l’incendie restent jusqu’à présent inconnues.


Aux dires des usagers dudit marché, l’incendie qui vient de porter un énorme coup à l’activité économique de ces nombreuses dames du marché Gbégamey, s’est produit, il y a exactement trois ans et c’était aussi dans le même mois de février. Mais les causes, affirment-ils ne sont jamais élucidées. Les femmes ne font que subir les conséquences néfastes de ce drame répété sans une enquête bien menée afin de démasquer les auteurs et exiger réparations et remboursements. Le phénomène est devenu fréquent et cela inquiète vraiment, ont laissé entendre les victimes rencontrées sur les lieux. A en croire dame Houènoussi DOSSOUGOUIN, responsable du marché, cet  incendie dont les dégâts peuvent être estimés à plus 300 millions de francs, serait un coup monté pour  nuire à sa réputation. Car, poursuit-elle, depuis que je suis responsable de ce marché, certains m’ont toujours prise  pour leur adversaire et leur ennemie et le courant ne passe pas très bien entre nous, a-t-elle ajouté. Ils ont tenté de me faire partir, mais en vain, jusqu’à ce qu’on aille aux élections où j’étais reconduite à la tête du bureau dirigeant du marché, a-t-elle précisé. L’élection s’est tenue, il y a environ une semaine et déjà un incendie du genre se déclare. Cela pourrait  bien expliquer le fait. Mais je ne peux rien affirmer à l’heure où nous parlons, a-t-elle souligné. Le comportement des gardiens reste suspect et suscite beaucoup d’interrogations, a-t-elle laissé entendre, car comment comprendre qu’ils se seraient opposés aux jeunes du quartier et aux sapeurs-pompiers d’éteindre le feu, sous prétexte que des voleurs se glisseraient dans le marché pour aller piller. Alors que eux gardiens, ils ne faisaient apparemment rien  pour maîtriser le feu, poursuit-elle, car, ce travail n’est pas de leur ressort. Mais, du coté des gardiens, les avis divergent. Ils s’inscrivent en faux. « Nous, nous  sommes restés dans la logique selon laquelle, malgré l’ampleur de l’incendie, nous devons assurer la sécurité des biens et empêcher les bandits de saisir cette occasion pour voler les biens laissés par les bonnes dames », ont-ils soutenu. C’est peut-être ce qui est mal compris des uns et des autres qui voient que nous en avons pour quelque chose dans cet incendie-là. Nous avons au contraire joué notre partition pour éteindre le feu, a affirmé Ignace AKOUEDENOUNDJE, chef  des gardiens du marché. Pour preuve, certains petits bandits sont actuellement au commissariat de Cadjehoun, car  surpris entrain de dérober certains objets laissés par les commerçantes. En ma qualité de responsable des gardiens, poursuit-il, j’ai ordonné à deux hommes parmi nous de rester au portail pendant ce temps, les autres et moi-même sommes restés à l’intérieur pour éviter que le pire se produise, a-t-il précisé. L’origine serait ailleurs et probablement au niveau des bonnes dames elles-mêmes, car elles ont des habitudes très compromettantes, a-t-il ajouté. En effet, dit-il, elles préparent dans le marché et allument des feux qu’elles ne prennent toujours pas la peine d’éteindre. Une des femmes aurait peut-être oublié d’éteindre son feu, qui serait  peut-être à la base de l’incendie, a déclaré M. AKOUEDENOUNDJE, sans pour autant être affirmatif et donner des précisions.

Le flou et l’imbroglio persistent  sur l’origine de l’incendie. Seules des enquêtes pourront situer les uns et les autres sur les vrais auteurs et les mobiles de l’incendie.

 Bérenger HESSOU (Stagiaire)

L’autorité municipale promet de démasquer les auteurs


La délégation de la mairie de Cotonou dépêchée hier sur les lieux du drame, s’est indignée que ce marché ait connu le même sort d’il y a exactement trois ans. Le deuxième adjoint au maire qui a conduit cette délégation n’écarte pas du tout  l’hypothèse que la cause de cet incident peut bien être d’origine criminelle. A entendre ses propos, le marché de Gbégamey qui dispose pourtant de huit (8) gardiens pour y assurer sa sécurité et celle des biens, ne peut pas être constamment confronté à ce problème.   C’est pourquoi, il promet de saisir aussitôt les services compétents afin que toute la lumière soit faite pour démasquer les auteurs de ce drame répétitif.

Fulbert Favi   
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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 09:22

Les travaux de recherche des étudiants de la Faculté d’Agronomie de l’Université de Parakou sont partis en fumé hier mercredi 29 février 2012 matin. Et pour cause, le laboratoire de cette faculté de l’Université de Parakou a pris feu. L’incendie a ravagé tout sur son passage notamment des ordinateurs et beaucoup d’autres équipements. Des sources proches des autorités de cette faculté indiquent qu’il s’agit d’un incendie non provoqué. Selon les mêmes sources, l’une des prises électrique murales serait à la base du drame.

Venceslas OLOWO
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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 09:14

 

Pour favoriser le bon développement d'un enfant, il faut veiller à la qualité de son alimentation et de son... sommeil. Bien dormir est en effet très important pour un bébé.

Entre 0 et 3 mois, bébé a besoin de 16 à 20 heures de sommeil. De 3 à 9 mois, le nourrisson doit dormir 12 heures la nuit et entre 3 et 5 heures le jour. De 9 à 12 mois, il faut qu'il sommeille entre 11 et 12 heures la nuit et environ 3 heures dans la journée. Et il est rare qu'un bébé fasse ses nuits dès la sortie de la maternité.

Bébé est donc dans son lit mais il ne parvient pas à s'endormir. Dans ce cas, il y a quelques astuces qui ont déjà fait leurs preuves.

- L'atmosphère de la chambre d'enfant doit être apaisante (couleurs tendres, décoration reposante...). Il est indispensable qu'elle soit quotidiennement aérée.

- Comme ses parents, bébé a besoin d'une bonne literie.

- Il ne doit pas faire trop chaud dans la chambre (entre 18°C et 20°C).

- Les parents doivent lui apprendre à faire la différence entre le jour et la nuit : comment ? En fermant les volets et les rideaux la nuit et en les ouvrant le jour. De la naissance à l'âge de six semaines, certains bébés peuvent confondre le jour et la nuit. Le saviez-vous ?

- Avant de le coucher, bébé ne doit pas être énervé. Le bain du soir peut avoir des effets calmants. L'atelier "je joue" doit prendre fin. Enfin apaisé, bébé sera transporté dans son lit.

- Quand vous le nourrissez la nuit, il ne faut pas allumer la lumière et il faut chuchoter pour qu'il comprenne que ce n'est pas encore le jour.

- Le sommeil de bébé doit être respecté en adoptant des rythmes fixes. Les bambins doivent avoir des repères : le repas, le bain, la promenade et bien sûr le coucher. Un bébé a besoin d'être couché à heures fixes et ne doit pas être réveillé brusquement.

- Papa ou maman ne doit pas omettre les rituels qui le rassurent toujours (les câlins, une berceuse ou une histoire).

- Bébé doit constamment se retrouver dans un environnement rassurant ! Pour bébé, le doudou et le mobile lumineux, installé au-dessus de son lit, seront des repères qui le mettront en confiance.

Vous avez programmé un week-end en amoureux. Bébé va dormir chez ses grands-parents ou des amis. C'est parfait ! Mais il ne faut pas oublier les objets qui le réconfortent comme son doudou, sa peluche...

- Il faut être attentif aux premiers signes de fatigue. Comment les reconnaître ? Bébé va se frotter les yeux, s'agiter, être grognon ou encore regarder dans le vide.

- Bébé doit apprendre à rester seul dans sa chambre.

- Certains parents installent une veilleuse qui rassure bébé ou laissent la porte entrouverte de la chambre d'enfant. Il y a ceux qui sont pour et ceux qui sont contre.

- Il ne faut pas tomber dans le piège aux premiers pleurs... plus facile à dire qu'à faire. L'un des deux parents doit jeter un œil dans sa chambre et patienter quelques instants avant de le prendre dans ses bras.

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24 février 2012 5 24 /02 /février /2012 09:16

journaux2Des hommes politiques s’acharnent depuis quelques jours contre le député Aké Natondé. Issus de la même région que lui, ils multiplient les attaques aux fins de le déstabiliser dans une guerre de leadership engagée depuis peu. Seulement le député considéré par les populations comme un développeur, maintient une longueur d’avance sur ses détracteurs.


Dans la région Agonlin, précisément dans la commune de Ouinhi, on observe une guerre de leadership entre les membres de la mouvance présidentielle au point où le député Aké Natondé, très populaire dans la zone, est victime d’une cabale sans précédent. D’autres natifs de la région, bien installés au cœur du régime Yayi lui mènent par médias interposés, une guerre farouche. Et ce, malgré ses nombreuses œuvres sociales. Aké Natondé qui n’a pas attendu d’être nommé au poste de ministre, ni d’être élu député avant de se mettre au service du peuple, compte en effet à son actif de nombreuses réalisations. Promoteur de la radio "Tonanssé" de Covè, il a financé aussi la construction des modules de classes dans les Collèges d’enseignement général (Ceg) de Covè, de Zagnanado et de Ouinhi, les trois communes de la région, apportant ainsi sa contribution à l’éducation des enfants « Agonlinou ». Très frappé par les difficultés que rencontrent les femmes dans leurs activités commerciales, il a fait construire au marché d’Aïzè, dans la commune de Ouinhi, un grand magasin destiné au stockage des marchandises. Mieux, Aké Natondé a gracieusement offert au groupement des femmes de la même commune, spécialisées dans la transformation des produits agricoles, des machines rappeuses, pileuses et presseuses. Il s’est aussi illustré par son implication dans la création du Ceg de Tan, l’avènement du second cycle aux Ceg de Banamè et de Dovi à Zagnanado. Des actes salués par les populations de la région car jamais, aucun fils d’Agonlin n’a fait autant de réalisations. Ces réalisations lui valent d’ailleurs la haine d’autres politiques des Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe), parce qu’elles ont renforcé ses relations avec les populations et lui ont permis de garder une avance considérable sur eux. Et il ne peut en être autrement car il poursuit ses actions avec détermination sur le terrain. Mais l’autre acte qui accentue ce dédain dont il fait l’objet, ce sont ses liens avec le maire de la commune de Ouinhi, Innocent Sékou contre lequel les mêmes politiques nourrissent également une haine viscérale. Le député Aké Natondé a réussi à avoir dans le parti Cds-Finangon le maire, alors que ce dernier était son adversaire politique lors des dernières législatives. Ils ont fait la paix des braves et mènent ensemble depuis de grandes luttes au sein du Cds-Finangnon. Innocent Sékou, lui aussi très impliqué dans le développement de Ouinhi, et très apprécié par les populations est en effet soutenu par le député Aké Natondé. Un soutien qui gène assez d’intérêts à la mairie de Ouinhi, mais aussi dans le gotha politique local. Et visiblement, le duo Aké-Sékou devenu une menace pour leurs adversaires, ces derniers ont tôt fait de jeter des discrédits sans fondements sur le député de la 24ème circonscription électorale. Ces personnes multiplient les manœuvres alors que la population de Ouinhi bien informée des actes de développement de leur maire, n’a cessé de lui réitérer son soutien. Les populations de Ouinhi, connaissant donc bien les acteurs politiques, on peut sans doute affirmer que la guerre de leadership engagée par des politiques en quête de popularité et en panne d’inspiration, n’aura pas lieu.

AT

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