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29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 05:48

papa-noel.jpgUn homme employé comme père Noël dans un centre commercial du Massachusetts va devoir abandonner son costume jusqu'à nouvel ordre, un de ses collègues l'ayant accusé d'avoir la main baladeuse.

 

Herbert Jones, 62 ans, a été arrêté samedi et inculpé d'attentat à la pudeur, selon un porte-parole du bureau du procureur du comté de Plymouth.

 

Ce dernier a en revanche refusé de commenter les informations de presse selon lesquelles le collègue en question portait un costume d'elfe dans le cadre de son travail.

 

Libéré contre une caution de 1.000 dollars après avoir plaidé non coupable, Herbert Jones s'est vu interdire par le juge de fréquenter le centre commercial où se sont déroulés les faits présumés.

 

Il doit comparaître à nouveau devant la justice le 24 décembre et a interdiction de postuler pour un nouveau poste de père Noël jusqu'à ce que l'affaire ait été éclaircie.

 

Scott Malone; Myriam Rivet pour le service français, édité par Bertrand Boucey

 

·         L'histoire émouvante d'un jeune chien qui sert de guide à son frère aveugle

 

Deux chiots errants à l'histoire touchante sont devenus des stars du web, aux Etats-Unis. Recueillis par une association à Philadelphie (Pennsylvanie), ils n'ont eu aucun mal à trouver un foyer. Vous aimez nos contenus ? Recevez gratuitement la meilleure news et vidéo du jour, et profitez des conseils de Consogazette pour améliorer votre pouvoir d'achat Jeffrey et Jermaine sont deux chiots errants à l'histoire aussi incroyable qu'émouvante. Agés de huit mois, ces frères nées d'un croisement entre un labrador et un pitbull ne se lâchent jamais d'une semelle, en grande partie parce que Jermaine est le guide de Jeffrey, aveugle depuis la naissance. Ainsi, ce dernier peut compter sur son alter ego pour le diriger, l'aider à manger et le mettre en confiance lorsqu'il arrive dans un endroit encore inconnu. Une complicité touchante, qui a sauté aux yeux des bénévoles d'Operation Ava, une ONG propriétaire d'un refuge à Philadelphie qui a récemment recueilli les deux frangins. "Jermaine fait tout pour rester à proximité de son frère aveugle, et Jeffrey s'appuie sur lui", peut-on ainsi lire sur le site internet de l'association. "Une situation extraordinaire" "Selon mon expérience, c'est une situation extraordinaire, car ils font très attention l'un à l'autre et jouent très bien ensemble", expliqué Ray Little, directeur de la préservation de la vie d'Operation Ava, à NBC Philadephia. "On dirait presque que Jermaine comprend que Jeffrey est malvoyant." Pour offrir un nouveau départ au duo, Operation Ava a décidé de mettre en ligne une annonce accompagnée d'une photo des chiots, prise lors de l'un de leurs nombreux moments de complicité. Et très rapidement, les internautes se sont bousculés pour offrir un foyer et une nouvelle vie à Jermaine et Jeffrey. Plus de 300 demandes d'adoption "J'ai reçu plus de 300 courriels. Nous avons été contactés par des gens qui venaient d'Afrique du Sud et du Royaume-Uni. De nombreux appels que nous avons reçus venaient du Canada et de l'Amérique du Sud. Et je pense que nous avons également été entendus dans chaque Etat des Etats-Unis, y compris en Alaska et à Hawaï", se réjouit Ray Little. D'après une information du site philly.com, Jeffrey et Jermaine ont finalement été adoptés par un couple de quadragénaires habitant à Philadelphie. Ces derniers ont même eu le privilège d'effectuer un passage sur la Fox, accompagnés de leurs deux nouveaux compagnons.

 

·         Un homme se transforme en serpent et avale une étudiante

 

Quatre personnes ont été interpellées par la police à la suite de cette information démentie par le responsable de l'hôtel et les autorités de la ville. Le réveil a été brusque et douloureux samedi matin, 09 novembre 2013 à Buéa, notamment, pour les habitants situés entre Mile Seventeen et l'entrée de l'Université. Très tôt, une information s'est répandue dans la ville, selon laquelle une étudiante a trouvé la mort dans un hôtel, notamment, Eta palace Hôtel. Elle s'y trouvait en compagnie d'un homme, qui l'a avalée après s'être transformé en un énorme serpent. Le drame se serait produit autour de 3h. La nouvelle a enflé et s'est généralisée. Vers 9h, une énorme foule composée pour la plupart, d'étudiants, apprend-on, prend la direction de cet hôtel afin de se rendre justice. Les arrivées du sous-préfet, du Procureur de la République, du Maire et d'une forte présence policière ne changeront rien. "Des échauffourées ont éclatées entre la population et les policiers. Munie de pierres, la foule voulait détruire l'hôtel. Des vitres de cet hôtel et celles des véhicules de la police ont d'ailleurs été brisées par la foule en furie", raconte Julius Obi. "Afin de rassurer tout le monde qu'il n'en est rien et démentir l'information, le responsable de l'hôtel a fait visiter toutes les chambres de son hôtel aux autorités administratives présentes ainsi qu'aux journalistes", ajoute un autre témoin. Au terme de la visite, le sous-préfet a déclaré à la foule n'avoir rien trouvé qui pouvait laisser croire à une telle information. Le personnel dément et soutient n'avoir pas enregistré d'étudiante comme cliente de l'hôtel. Et, pour son responsable, c'est une rumeur lancée par les responsables des autres hôtels rivaux, afin de faire fuir sa clientèle. Ce qui ne convainc pas la foule, réconfortée par une photo qui montre un serpent avalant une fille. Une photo qui, d'après Sandrine, étudiante "est montée et prise sur internet parce que le serpent et même la fille n'apparaissent pas clairement sur cette photo. Ce genre de photo se trouve même sur Facebook". L'on n'a ni le nom de l'homme transformé en serpent, ni celui de sa victime. Toutefois, dans le cadre de cette folle rumeur, quatre personnes ont été interpellées par les éléments des forces de l'ordre, notamment la police.

 

·         Un ouvrier chinois enterré vivant à cause d'un glissement de terrain

 

Un ouvrier chinois a été pris au piège par des terres boueuses alors qu'il travaillait dans un chantier correspondant à un nouveau réseau d'égouts à l'Est de la Chine. Après un glissement de terrain, l'homme était bloqué jusqu'à la poitrine par cette terre. L'opération de sauvetage a duré plusieurs heures.

 

Ce ne sont pas des accidents auxquels on pense en premier lieu mais les glissements de terrain peuvent être très dangereux. Un ouvrier chinois en a fait les frais alors qu'il travaillait sur un nouveau réseau d'égouts. La terre sous ses pieds s'est écroulée et il s'est retrouvé recouvert de terre humide jusqu'au niveau de la poitrine. Le sauvetage a duré plusieurs heures.

 

C'est dans la Province chinoise d'Anhui que cet accident est survenu. Alors qu'il travaillait sur un chantier avec un de ses collègues, un ouvrier chinois s'est retrouvé victime d'un glissement de terrain. Les deux hommes travaillaient à l'Est du pays afin d'élaborer les premiers pipelines à un nouveau réseau d'égouts.

 

Mais, rapidement l'état de la terre sous leurs pieds s'est transformé en un véritable marécage. Comme s'il était dans des sables mouvants, l'ouvrier chinois a été emporté par cette boue qui l'a immobilisé durant de longues heures. Seule sa tête dépassait. Ainsi, l'ensemble de ses membres était coincé. Mais, même si son nez et sa bouche étaient libres, sa respiration était diminuée à cause de la pression de la terre boueuse exercée sur sa cage thoracique.

 

·         Un an de la vie d'un bébé grand prématuré en 6 minutes

 

Internet recèle quelques belles histoires qui mettent de bonne humeur. C'est le cas de cette vidéo de Benjamin Scot, qui raconte la première année de son fils Ward Wiles, un "bébé miracle" grand prématuré. Né le 16 juillet 2012 au Nationwide Children's Hospital de Columbus, dans l'Ohio, Ward Miles, 700 grammes, n'avait passé que cinq mois et demi dans le ventre de sa mère. C'est la limite de viabilité pour les prématurés aux Etats-Unis et ses chances de survie sont très faibles.

 

Son fils est véritablement entre la vie et la mort quand Benjamin Scot, de son vrai nom Benjamin Miller, vidéaste et photographe de profession, prend sa caméra pour immortaliser ses fragiles premiers moments. Quant à la vidéo, qui montre "qu'il venait de très loin", il explique en légende que c'est un cadeau d'anniversaire à sa femme et à l'équipe médicale qui a sauvé son fils.

 

De la première rencontre de la mère et de son fils, 4 jours après la naissance de Ward Wiles, à son retour à la maison où il grandit normalement, en passant par sa lutte pour la survie à l'hôpital, un an de sa vie est donné à voir en six minutes. Deux semaines après sa mise en ligne, ces moments intimes ont été visionnés plus de 2,4 millions de fois.

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7 octobre 2013 1 07 /10 /octobre /2013 04:29

Alors qu’ils revenaient d’un cyber, un étudiant du nom de Dantoka Salimou et Abdel Satar Ahmed, un ressortissant égyptien et enseignant à l’Institut ANOUR ont été agressés ce mercredi 2 octobre. L’étudiant et son professeur, rapporte-t-on, s’étaient vus intimer l’ordre de s’arrêter pour répondre à la patrouille simulée par leurs bourreaux. Ils ont, par ce biais, été dépossédés d’un portable, d’un passeport, d’une mallette contenant un ordinateur portatif, une clé de connexion internet, un portefeuille et quelques billets de banque. Après leur forfait, les deux agresseurs ont pris la clé des champs. Suite à une plainte déposée à la gendarmerie de la ville, un des auteurs de cette agression, un militaire du 7ème bataillon inter armes de Kandi, a été interpellé. Grâce à une perquisition à son domicile, la plupart des objets arrachés la veille ont été retrouvés. Pressé de questions et ayant été reconnu par ses victimes, il a affirmé avoir ramassé les objets dans la rue alors que lui et son complice avaient même demandé à leurs victimes de se rendre à la brigade de gendarmerie pour la suite du dossier les concernant. Ce soldat braqueur a été présenté, vendredi, au procureur de la république près le tribunal de première instance de deuxième classe de Kandi sans son complice qui est toujours en cavale.

Rastel DAN (stag)

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 04:29
vous-2Lorsque l'on a été un couple, se séparer, ce n'est jamais facile. Certaines personnes commettent même des erreurs fatales qui les empêchent d'aller de l'avant. Mais quelles sont-elles ?

On a tous, une fois dans sa vie, connu une grosse déception / rupture amoureuse (à moins 1. d'être un robot ou 2. d'avoir douze ans). Lorsque son couple n'est plus, il y a des pièges et si l'on tombe dedans, ils nous empêchent d'avancer. Des pièges ou des erreurs qu'Ericka Souter, du blog CaféMom, a listés et que le Huffington Post US s'est empressé de relayer.

- Se jeter sur le premier coup d'un soir que l'on trouve. Même si on se sent bien sur le moment, cela n'a jamais réparé un coeur brisé.

- Faire semblant d'aller bien, alors qu'en vrai, on a envie de se jeter sous un bus dès qu'on en voit un passer. Cacher ses émotions ne peut mener qu'à une chose : la catastrophe. A force d'intérioriser, on risque d'exploser et le jour où ça arrive, on regrette de ne pas s'être exprimé plus tôt.

- Ecouter des chansons d'amour tristes. Nous, on recommande plutôt ça. Ou ça (oui, il y a une ligne directrice).

- Se remettre en couple rapidement. Il faut du temps seul pour se retrouver un peu et apprendre à vivre avec soi-même. Apprécier sa propre compagnie, c'est important. Si, si.

- Aller sur la page Facebook de son ex. Pour éviter de le voir en photo avec d'autres filles (même si seulement des copines). Alors mieux vaut le retirer de sa liste, quitte à le rajouter quelques mois (années ?) après, lorsque l'on est passé à autre chose.

- Lui parler / passer du temps avec lui. Encore une fois, il faut laisser passer un certain laps de temps avant de pouvoir devenir "amis".

- Jeter à la poubelle (de rage ou de tristesse) tout les cadeaux qu'il vous avait offerts. Pourquoi vous priver de ce bracelet en perles ou cette paire de chaussures que vous adorez ? Célibataire, ok, mais devoir renoncer à ses fringues préférées, non.

- Détruire tout ce qu'il a laissé chez vous. Et qu'il aimerait récupérer. Pourquoi ? Parce que c'est minable. Donc, on reste digne et on emballe tout dans des boîtes qu'on laisse gentiment à sa disposition (comme Beyoncé dans ce clip).

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 05:34
mercedes03_fr.jpgLors de ses opérations de sécurité et de maintien de l'ordre public, la police nationale via le commissariat central de la ville de Porto-Novo a intercepté ce lundi plusieurs véhicules dont trois appartenant à des hauts dignitaires du culte Vodoun. Raison évoquée par les flics, le port de la plaque d'immatriculation sans chiffres, mais à l'effigie de leur titre de dignitaire du culte vodoun.

Il s'appelle Balè Pachi originaire du Nigéria, le premier dignitaire du culte Vodoun intercepté par les éléments du commissariat central de Porto-Novo à la hauteur du carrefour Wadon à quelques mettre de la ville d'Adjarra. Après avoir procédé à la vérification des pièces du véhicule, les policiers ont écourté le parcours de la voiture en ordonnant son arrestation au motif que la plaque du véhicule n'est pas conventionnelle. Faisant appel à d'autres dignitaires de son rang dont Balè Flancimey Toyi et Balè Mèdé de Idiroko, ils ont tous subi le même sort car sur la plaque de leur véhicule était aussi inscrit ''Balè''. Les forces de l'ordre estiment que ce faisant, plusieurs faussaires pourraient s'en servir pour des actes d'insécurité et qu'il faille mettre en premier lieu la plaque conventionnelle puis celle qui les identifie. Après avoir fait ces mises au point, le commissaire central de Porto-Novo a fait observer que ces véhicules ne devraient pas être arraisonnés mais ceux portant l'immatriculation IP selon la décision prise par le gouvernement. Les véhicules enfin libérés suite à son intervention, suscite des interrogations : Assistons-nous donc à un désordre ou carrément à une confusion au sein des forces de l'ordre suite à la mesure d'interdiction des véhicules détenteurs de l'immatriculation IP? De ce point de vue, les rois aussi devraient s'inquiéter; en tout cas pour ceux d'entre eux dont la plaque de véhicule n'est pas conventionnelle.

Charles Honvoh
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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 08:41

Elle n'en revient toujours pas après avoir surpris ce dimanche soir un infirmier entrain d'abuser de sa sœur à l'arrière d'une ambulance.

Après avoir été victime d'une grave chute d'escalier, une habitante du remblais de Koumassi à Abidjan sera évacuée par ambulance jusqu'à une clinique située au plateau.

 

A l'arrivée sur les lieux, la sœur de la blessée qui avait suivi l'ambulance en taxi s'est approchée du véhicule pour tenter de prendre des nouvelles de sa grande sœur. C'est alors qu'ouvrant la porte elle prendra un des infirmiers, resté resté seul avec la blessée à l’intérieur de l'ambulance une main sous la robe de sa sœur et l'autre sur l'un de ses seins.

 

Choquée le témoin improbable a de suite crié et l'infirmier comme pris de panique se jeta sur elle pour lui flanquer une gifle afin de la faire taire alors que sa soeur était toujours sous assistance respiratoire dans l'ambulance en attendant d'être admise aux urgences.

 

Ne sachant que faire, n'ayant pas confiance en la police pour porter plainte, c'est vers KOACI.COM que se tournera la témoin d'attouchements sexuels pour dénoncer les faits et prendre conseil.

 

Après l'avoir conseillé de porter plainte, cette dernière nous avouera attendre le rétablissement de sa soeur pour prendre la juste décision.

 

Au delà de ce cas, notons qu'en Côte d'Ivoire, les cas d'abus sexuels sur les patients sont des réalités dans les établissements de santé de la capitale économique ivoirienne, certains vont même jusqu'à abuser des morts avant et lors de leurs évacuations dans les morgues.

 

Nous y reviendrons.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 05:51

corps.jpg(LES TENANCIERS DE LA MORGUE TRADITIONNELLE ONT EXTIRPÉ UN BÉBÉ DE SON VENTRE)

Qu'est-ce qui s'est passé autour de la mort de cette petite fille, Anne-Marie Akoukonou ? Dans quelles circonstances la population de Toffo est éplorée. Elle a perdu une de ses filles qui plus, est une mineure de moins de 18 ans, des suites, certainement d'un avortement provoqué et en plus clandestin. On ne saurait le dire avec précision. Tout ce que l'on sait est qu'après deux jours passés dans une clinique à Houègbo, elle fut ensuite déposée chez un guérisseur traditionnel et la mort s'en est suivie. C'est ainsi que le corps de la petite est déposée à la morgue traditionnelle de Houégbo.

Léandre AKODEDASSA

Qu'est-ce qui s'est passé autour de la mort de cette petite fille, Anne- Marie Akoukonou ? Dans quelles circonstances cette mineure de 16 ans a-t-elle perdu sa vie ? Des questions subsistent et méritent d'être élucidées. Il est important que ceux qui ont à charge ce dossier trouvent le bout du tunnel de ce "meurtre" pour situer les responsabilités des uns et des autres. En effet, lorsqu'on analyse les faits qui ont emporté cette jeune fille dans l'au-delà, on se rend compte que cette mort mystérieuse pourrait être le fruit d'un avortement clandestin réalisé de connivence avec l'auteur de la grossesse, d'un agent de santé pour finalement finir chez un guérisseur traditionnel. En effet, les informations reçues font état de ce q ut' l'enfant malade serait évacuée vers un hôpital qui aurait demandé des analyses avant de lui administrer des soins, Quels soins lui a-t-on fait pour l'évacuer chez un guérisseur traditionnel? C'est chez ce dernier que la petite aurait trépassé et tout cela à l'insu des parents qui sont à 300 mètres du centre de santé. Plus compliqué dans cette histoire, le corps déposé à la morgue aurait été opéré par les tenanciers de cette officine traditionnelle où un bébé aurait été extirpé du ventre de la fillette morte. Alors des supputations fusent et interpellent. N'est-ce pas pour avorter le bébé indésirable que la jeune fille est décédée?

Qu'est-ce que l'agent de santé a fait à la mineure?

Dans quel état a-t-il libéré la petite Anne-Marie?

Quel est le rôle joué par le féticheur ou du guérisseur? Comment l'autorité de cette morgue a pu savoir que l'enfant était enceinte? Autant de questions qui nécessitent une enquête approfondie pour décanter cette ténébreuse affaire de meurtre ou d'avortement. S'il s'avérait que la mort de cette mineure résultait d'un avortement provoqué, il serait judicieux que des sanctions fusent pour décourager ces pratiques aux conséquences dangereuses et dramatiques. En effet, malgré l'éducation reçue aussi bien des parents que des enseignants qui n'ont de cesse de mettre en garde contre ces genres de pratiques dont les conséquences sont la plus part du temps dramatiques, bien des filles des villes et campagnes, ne lésinent pas sur les moyens et stratégies pour s'adonner en cachette à l'avortement clandestin. Des grossesses contractées involontairement après un rapport sexuel non protégé deviennent un lourd fardeau dont il faut s'en débarrasser. Et pour ce faire, tous les moyens sont bons pour atteindre les résultats escomptés. Si certaines parviennent à réussir leur sale besogne, d'autres subissent les conséquences de leurs actes. Soit ce sont des stérilités à vie ou un voyage définitif dans l'au- delà. Ce dossier doit être traité avec la dernière rigueur pour mettre fin à cette volonté manifeste des uns de mettre en péril la vie des autres.

 

Source Le Routier

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 05:32

femme-viloee.jpgAu jour le jour, les valeurs cardinales qui caractérisent l'homme dégringolent. La perte des valeurs morales, éthiques et religieuses qui ont contraint le Chef de l'Etat a décrété la refondation de la république ont atteint tous les secteurs de la vie béninoise. De nouveaux faits apparaissent et laissent dans la perplexité. Que faire ? .

L.A

Chaque spécialité, de métiers a ses brebis galeuses. Si dans certains secteurs, c'est la corruption qui domine et étend ses tentacules dans les autres branches, au sein des gynécologues, c'est une nouvelle trouvaille, une gangrène qui veut mettre en péril la réputation de ce secteur médical. De quoi s'agit-il? Il s'agit de la tentative de viol qu'un gynécologue a savamment planifié sur sa patiente. En effet, en pleine consultation où cet indélicat gynécologue a introduit l'appareil médical dans le sexe de sa patiente pour des contrôles, notre docteur, coutumier des faits certainement, a commencé, excusez du peu le "clitoris" de sa patiente, comme si cela ne lui suffisait pas et pensant que ses attouchements allaient déclencher le plaisir chez sa patiente, il s'est littéralement attaque aux seins de celle-ci, lui demandant si elle ne jouit pas. Ce fut à ce moment que la patiente comprit les vils objectifs poursuivis par son gynécologue. Elle le menaça d'alerter le monde.

La dame s'habilla et quitta l'hôpital. C'est ainsi que monsieur "gynéco" a été pris sur le fait. Voilà ce qui se passe dans nos hôpitaux.

Des malades qui sont traumatisés par des comportements malsains de ceux-là qui sont sensés tout mettre en œuvre pour les soigner. Combien de femmes qui subissent ces genres de revers, gardent en silence et dans le tréfonds de leur cœur de pareilles mésaventures? Il est important que chaque secteur d'activité retrouve ses vraies valeurs qui la caractérise pour que l'honneur et la noblesse reviennent dans la cité. Ou ne faudrait-il pas que désormais des femmes soient consulter rien que par des femmes?

 

 

Source : Le Routier

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 06:04

voleur-arrêtéUn voleur peu ordinaire s'est illustré vendredi dernier au Palais des Sports du Stade de l'Amltié de Kouhounou lors du lancement d'album du chanteur Rémi Zola. Alors que ce dernier était sur scène, un voleur, la vingtaine environ tentait de défoncer la porte de la chambre qui servait de vestiaire aux artistes. Surpris, il prit la fuite. Mais il fut rattrapé quelques minutes après dans la salle même du spectacle par des militaires et des policiers avec l'aide des spectateurs. Mais pour tromper la vigilance des forces de l'ordre et échapper aux coups de ceintures, notre voleur trouva l'ingénieuse idée de faire le sourd rnuet..« ba ! ba ! wou! wou ! =, scandait-il, faisant des gestes de mains aux oreilles comme pour signifier qu'il n'entend pas.

Mais à la suite de deux paires de gifles, simultanées sur les deux joues, notre voleur pouvait enfin parler. « Oui chef! Oui chef! Je vais parler », cria-t-il implorant le pardon des forces de l'ordre. La supercherie décelée, le voleur fut conduit au poste de police du Stade de l'Amitié.

 

Brieux NOURENI

 

Source : Les 4 vérités

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 05:50

catarpillar.jpgLes litiges domaniaux n'ont pas fini de faire de victimes. Cette fois-ci, c'est une église du christianisme céleste située à Mènontin qui vient de faire les frais de ce phénomène endémique qui gangrène depuis des années les centres urbains au Bénin.

Les litiges domaniaux continuent de faire des "sans abris" dans les quartiers de Cotonou. C'est encore une église du christianisme céleste située à Mènontin qui vient de subir les contre coups de ce genre de litige. Ladite Eglise a été réduite en poudre par de gros engins déployés sur les lieux. Situé tout juste en face de la télévision canal3 Bénin, le domaine a été acquis depuis près de 35 ans par le responsable de cette église. La csise couve depuis 1991. Treize ans après l'achat du terrain, l'acquéreur s'est retouvé en conflit ouvert avec un certain Zohoun Bienvenu qui, selon les enquêtes, n'est ni vendeur ni descendant. Depuis ce temps, le procès suit normalement son cours devant les juridictions compétentes du Bénin. Nul ne s'attendait à une délibération si brusque de la justice quand subitement le dimanche 8 Août passé, une décision de justice notifie au responsable de l'Eglise de se retirer des lieux. Le domaine est devenu désormais la propriété du sieur Zohoun Bienvenu. Voilà que deux jours après sans autre forme d'avertissement, un caterpillar commis par l'huissier de justice Marcellin Zossoungbo appuyé par un groupe de policiers, est venu saccager tout sur le domaine. Les responsables de rEg lise n'ont pas eu le temps de ranger tous leurs effets avant que le géant rassoir ne démarre ses activités. Les malades qui s'y trouvaient ont été aidés par les maisons environnantes où ils ont trouvé refuge.

Les fidèles, quant à eux, n'ont eu que leurs yeux pour pleurer. Vivement que les responsables de cette église trouvent un autre lieu de culte au grand bonheur de leurs fidèles.

Babylas  A. (stag)

 

Source Le Potentiel

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 04:32

 

photo0059Le corps du professeur Albert Mukona Tiedieshe, promoteur de l’orphelinat de Takon, dans la commune de Sakété et de l’Ecole Supérieure Internationale d’Enseignement Technique (ESIET) de Cotonou, décédé le 18 août dernier n’a pas pu être enterré le samedi 07 septembre dernier comme c’était programmé. Des individus armés de coupe-coupe et de gourdins ont interdit l’accès, à l’orphelinat où devait avoir lieu l’inhumation, au cortège mortuaire et à tous les amis et sympathisants du défunt.
Face à cette interdiction, les parents et amis de l’illustre disparu ont été obligés de rebrousser chemin pour déposer le corps du professeur Albert Mukona Tudieshe à la morgue. Ceci après la messe corps présent dite sur la paroisse Bon Pasteur de Cadjèhoun. Malgré l’intervention du roi de la localité, ces individus sont restés fermes sur leur position. Au nombre des délégations venues de l’extérieur, on note le roi de Kaduna (République fédérale du Nigéria). Et tout comme si cela ne suffisait pas, ces individus ont barré les deux voies qui mènent à l’orphelinat à l’aide des nervures de palmier ; un moyen utilisé par les communautés du sud-Bénin pour exprimer l’interdiction formelle d’accès à un lieu sous peine de malédictions. D’autres délégations ignorant cet incident venues plus tard ont été également éconduites. Vu la détermination de ce groupe d’individus à empêcher l’enterrement du professeur dans l’enceinte de l’orphelinat qu’il a construit depuis des décennies, on se demande alors les raisons qui pourraient justifier ce comportement. Face à cette interrogation, les commentaires vont déjà bon train. Le professeur Albert Tudieshe, ont affirmé certains, n’aurait pas acheté le domaine, et c’est la raison fondamentale qui sous-tend cette interdiction. D’ailleurs, si c’était le cas, n’est-ce pas cet homme de nationalité congolaise, exilé au Bénin depuis plus de 20 ans, qui a tout donné, de son vivant à cette localité en implantant dans ce village situé à quelques kilomètres de Porto-Novo, un orphelinat dans lequel sont hébergés nombre d’enfants béninois dont ceux de Takon? Mérite-t-il ce sort que les habitants de Takon ont réservé à sa dépouille mortelle ?
Esckil AGBO

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