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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 04:13

etats genero presse discourLe Chef de l'Etat s'est entretenu ce mercredi 24 septembre 2014 avec le Ministre de  l'urbanisme de l’habitat et de l'assainissement (Muha), Christian Sossouhounto. Au menu des échanges, le lancement des travaux de pavage et d’assainissement dans certaines communes.

 

Longtemps attendus, les travaux de pavage et d'assainissement de certaines communes vont bientôt rentrer dans leur phase active. Le lancement desdits travaux sera effectué ce jeudi 25 septembre par le Chef de l'Etat. Toutes les communes sont prévues pour bénéficier de ce programme. Selon le ministre Christian Sossouhounto, l'accès des communes à un programme d'assainissement constitue l’une des priorités du gouvernement qui entend couvrir  tous les chefs-lieux de commune. Tout est fin prêt, rassure le ministre, pour le démarrage et l'exécution diligente desdits travaux. Au total, onze nouvelles communes sont inscrites au titre du présent programme, notamment celles de Sakété, Pobè, Kétou, Bohicon et Dassa-Zoumé, qui bénéficieront de la première phase de lancement. Ce programme sera suivi de celui de dix autres communes dont les études dont en cours au niveau du ministère de l'urbanisme. Avec le nouveau prêt d'un montant de 26 milliards de francs cfaaccordé  par la Banque ouest africaine de développement (BOAD), le gouvernement pourra etendre la mise en oeuvre de ce programme à d'autres communes en attente, promet Christian Sossouhounto.

 

Le président de la République a également échangé avec Aké Natondé, ministre des Travaux publics et des Transports. Ce dernier lui a fait le point des travaux de construction de routes et de ponts entrepris depuis peu sur toute l'étendue du territoire national. A ce sujet, confie- le ministre, l’entreprise adjudicataire du projet de construction de la route Djrérègbé-Dja-Owodé se déploie déjà sur le terrain. Seul le retard dans l'obtention du certificat de conformité environnementale constitue le point de blocage de ce projet. Le ministre en charge de l'environnement aurait promis régler ce problème d'ici vendredi. S'agissant de la route Parakou-Djougou, les travaux préliminaires sont déjà lancés, confie Natondé Aké qui a par ailleurs informé des diligences entreprises par le gouvernement brésilien au sujet de la route Kétou-Savè. A ce sujet, un consortium est déjà choisi pour la réalisation des études. Mais il n'a pas manqué de signaler les points de blocage que connaît le projet, notamment le désaccord entre le gouvernement et ledit consortium au sujet du prix au kilomètre. Ce prix serait évalué à 900 millions francs CFA par la partie brésilienne contre une moyenne de 500 millions en vogue dans le pays. Les discussions sur le sujet seront poursuivies lors de la mission qu'entend dépêcher le gouvernement béninois au Brésil dans les prochains jours, rassure le ministre. 

 

Bruno OTEGBEYE (Cell.Com/PR)

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23 septembre 2014 2 23 /09 /septembre /2014 04:11

nouv 4284Voilà les raisons des attaques contre le gouvernement par les détracteurs

Boni Yayi siffle la fin de la récréation, confondant du coup les nostalgiques de l'époque de la mascarade financière à l'occasion des joutes électorales. Désabusés, désorientés et contraints au regret, ces ennemis de la République, détracteurs du chef de l'Etat préfèrent se réfugier sous de fallacieux arguments pour "mitrailler" Boni Yayi. L'argument est tout trouvé car qui veut tuer son chien l'accuse de rage. La rengaine est toujours la même, et tous les moyens sont bons pour accuser le chantre de la "Refondation" de ne pas vouloir organiser les élections communales. Et pourtant, la réalité est là, tangible, claire et admise de tous ceux qui partagent encore le bon sens dans ce pays. Plus de 100 milliards de nos francs cfa ont en effet' servi à organiser les différentes élections depuis 2006. Un montant qui suscite le vertige surtout quand on connait l'état de nos finances et la fragilité de l'économie nationale. Difficile de valider un tel état de choses quand on est" chef d'Etat" et, surtout quand on s'appelle "Boni Yayi". C'est donc à juste titre que la Haute Autorité à la faveur de sa descente à Boko hier a réitéré au peuple béninois son ferme engagement à ne pas dilapider les fonds publics. Les élections dans notre pays asphyxient les caisses de l'Etat. Le fait ne fait plus l'ombre d'un quelconque doute, d'ou l'urgence d'aller à une réflexion nationale pour repartir sur de nouvelles bases comme l'a préconisé le président de la République. La volonté de ne plus faire saigner les finances publiques à la faveur des joutes électorales est intacte et mérite d'être encouragée. On n'en veut pour preuve que le Niger, notre voisin, qui en dépit de sa grande population et de son grand territoire n'a jamais dépensé plus de 03 milliards dans l'organisation de ses élections. Il est donc impérieux que notre pays aille à cette école. Et visiblement, rien ne pourra arrêter Boni Yayi dans sa coriace détermination à ne pas gaspiller, dilapider, galvauder les deniers publics. Cette réalité, les ennemis de notre République devraient l'intégrer dans leurs "Congolo".

Denny Crane – L’autre Vision

 

 

 

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 04:49

boni yayi route pecheLe conclave gouvernemental de ce mercredi 17 septembre 2014 a été riche en dossiers. Plusieurs sujets d'importance capitale ont meublé ce rendez-vous hebdomadaire du gouvernement, dont la question de la gestion des marches publics sur laquelle l'Exécutif semble  décidé à mettre de lordre. 

 

Selon le Secrétaire général du gouvernement Alassani Tigri, plusieurs points ont été débattus au cours de ce rendez-vous de l'Exécutif.

Le premier est relatif au dossier des œufs importés par Sébastien Adjavon, et qui suscite des remous depuis peu. Après avoir reçu l'assurance des organes compétents quant à la qualité de ces produits, le gouvernement a autorisé Sébastien Adjavon à mettre les œufs en consommation. Parallèlement, la question de la production nationale des œufs sera approfondie lors d'une large concertation que le gouvernement entrevoit dans les tout prochains jours. Le deuxième point abordé par le gouvernement est relatif à l'emploi des jeunes. Après le dernier concours pour le recrutement de 4.500 jeunes dont les résultats seront proclamés dans ce mois, le gouvernement envisage une série d'autres recrutements qui portera à terme à 16.000 le nombre d'emplois créés, ce qui constitue une bouffée d'oxygène  pour juguler la jeunesse béninoise en proie au chômage. S'agissant du dialogue social, le conseil des ministres a pris, à l'aune du dialogue en cours, la décision de rétrocéder les défalcations opérées au titre de la grève de 2012, tout en réaffirmant sa détermination à examiner les autres points de la plateforme revendicative des travailleurs. Au sujet du rapport doing business, le ministre en charge des Objectifs du développement durable (ODD), a sacrifié a la tradition en faisant le point des  diligences menées par les différents ministères pour améliorer le climat des affaires dans notre pays. En ce qui concerne le RAMU, le gouvernement salue les résultats encourageants de cette réforme et a donné des instructions à la ministre de la santé aux fins de prendre de nouvelles mesures pour son renforcement. L'autre important dossier abordée par le conseil des ministres est relatif à la construction du siège de l'assemblée nationale. D'après le compte rendu du ministre en charge de l'habitat, précise le SGG, les dispositions nécessaires sont prises pour la reprise des travaux dans le courant de ce mois de septembre. Les travaux devront être achevés dans un délai d'un an au maximum, promet-t-il.

 

Vers l'accélération des procédures de passation et d'exécution des marchés publics.

 

Plus rien ne sera comme avant en matière de passation et d'exécution des marchés publics au Bénin, est-on tenté d'affirmer après la batterie de mesures prises par le conseil des ministres de ce mercredi. 

 Selon Boniface Vissoh, Directeur national de contrôle des marchés publics (DNCMP) qui a pris part au conclave gouvernemental, deux importants décrets ont été pris à ce sujet. Le premier, qui porte sur la fixation des délais impartis aux organes de contrôle vise à mettre fin aux longs retards observés jusque-là dans le processus de passation des marchés. 

Le deuxième décret quant à lui met un accent sur la planification de l'exécution des marchés. A ce titre, il est désormais fait obligation aux autorités contractantes de soumettre leur plan d'exécution aux organes en charge des marchés publics, au plus tard au mois de septembre de l'année n-1. Le nouveau décret réduit sensiblement les délais d'étude des dossiers par les organes de contrôle des marchés publics, depuis l'appel à concurrence jusqu'à l'approbation des offres. Ce délais sont désormais fixés à 80 jours pour les appels d'offres nationaux et 95 jours pour les appels d'offres à caractère international, contre cinq, voire six mois précédemment. La finalité de ces mesures, précise le DNCMP, est d'améliorer les capacités de consommation de ressources mises à la disposition de notre pays pour assurer son développement. Pour assurer l'efficacité de ces mesures, le conseil des ministres a prévu la mise à dispositions des acteurs des moyens humains, matériels et financiers nécessaires. Des sanctions sont également prévues à l'encontre de quiconque se mettrait au- travers des nouvelles dispositions, prévient-il.

 

Bruno OTEGBEYE (Cell.Com/PR)

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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 04:54

Aké Natondé

La répression des motos non immatriculées  ne démarre plus ce lundi 15 septembre comme prévu. Le gouvernement donne encore six mois aux citoyens afin qu’ils se mettent en règle dans cette nouvelle réforme sécuritaire. Cette décision est issue d’une rencontre entre l’administration des transports terrestres (Dgtt) et celle de la police nationale (Dgpn). En effet, ces dernières rencontres font constater  que la direction des transports n’est pas encore prête pour satisfaire le grand nombre sous enregistré. Selon nos investigations, le manque de personnel à la direction générale des transports terrestres est la première cause de la lenteur de ces opérations. Le second fait qui justifie cette lenteur à trait à la société qui fabrique les plaques. A ce niveau, les équipements nécessaires pouvant permettre une fabrication  rapide et en un temps record ne sont pas à la disponibilité de cette société. A tout cela, s’ajoute, le fait que certains agents de la Dgtt voulant tirer profit de ces opérations organisant des faux frais, en complicité avec certains « faux transitaires ». Cette atmosphère parfois incomprise et non maîtrisable par les responsables de la direction générale des transports terrestres fait que, même si les gens arrivent à déposer leurs dossiers, il faut attendre deux à trois mois et plus avant que la plaque ne soit réellement disponible. Raison pour laquelle, depuis des mois que cette opérations d’immatriculation a été lancée,   plus de 80% des engins à deux et trois roues ne sont toujours pas immatriculés.

Des promesses non tenues
Qu’il vous souvienne qu’entre temps, la Direction générale des transports terrestres avait parlé de 72heures, ou au plus une semaine pour le dépôt des dossiers et la prise de la plaque. Les interminables  rangs ont été justifiés comme inhérents au début de toute opération et il a été même prévu par la même direction de décentraliser les opérations dans les autres départements du pays et créer des centres rapprochés dans les grandes villes. Mais force est de constater que la situation au niveau de la Dgtt n’a bougé d’un iota. Si ce n’est que le regroupement des dossiers d’immatriculation par ministère, entreprises et diverses administrations afin de faciliter la tâche aux fonctionnaires. Il urge que la Dgtt revoit sa politique en procédant non seulement à la libération du secteur mais également au recrutement du personnel afin de faciliter la tâche aux populations. Il s’avère également nécessaire de procéder par voie de presse à une explication aux populations de la durée réelle pour l’immatriculation d’une moto et des dispositions en cours afin de rendre profitables ces six mois de report.

Yannick SOMALON

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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 04:48

Jacques-Ayadji-net1.jpgIngénieur des travaux publics et premier secrétaire général adjoint du Syndicat national des travailleurs de l’administration des transports et des travaux publics  (Syntra- Ttp), Jacques Ayadji était hier, 14 septembre,   l’invité de l’émission ‘’Ma part de vérité’’ sur Golfe Tv. A l’occasion, il a fustigé les ‘’actes de corruption’’ qui se constatent lors de la passation des marchés routiers au Bénin.

« Les marchés routiers au Bénin, l’autre réalité ». C’est le thème autour duquel l’ingénieur des travaux publics, Jacques Ayadji a fait des révélations hier sur les plateaux du groupe de presse la Gazette du Golfe. Connu pour son franc-parler et sa maîtrise du secteur des travaux publics et des transports, le secrétaire général adjoint du Syntra Ttp a abordé dans un premier temps la récente polémique sur la Bretelle de Bopa. Il a expliqué la genèse de ce projet qui date de 2009. L’invité a essayé dans un second temps de supputer sur les éventuels accords entre les deux hommes. De supposés accords qui n’auront pas été tenus de toutes parts et qui, aujourd’hui créent les situations auxquelles assiste le peuple. Le premier secrétaire général adjoint du Syntra-Ttp a ensuite abordé les différents chantiers routiers en cours dans tout le pays et démontré les manières par lesquelles les sociétés ayant en charge la construction de ces routes ont gagné ces marchés.  « Le secteur des travaux publics et des transports est un secteur dans lequel le gouvernement béninois a échoué depuis 2006 » a-t-il martelé. Il a nommément cité les différentes entreprises, les bailleurs de fonds, les bureaux d’études et chacun des chantiers dont la procédure de passation a fait l’objet de corruption. A entendre l’invité, ce ‘’désordre’’ est notamment imputable aux cadres de l’administration béninoise. Il affirme que le Bénin est malade de ses cadres et invite ces derniers à changer de comportement. Jacques Ayadji a, pour finir, reconnu les efforts du ministre Aké Natondé à travers l’entretien en cours du réseau routier béninois. Ce qui n’a plus été fait depuis plus de cinq ans a-t-il ajouté.

 

«Le président Nago s’est trompé de chiffre»

Dans son intervention, l’invité a donné raison au président de l’Assemblée Nationale, Mathurin Nago qui, selon lui,  était dans ses prérogatives de dénoncer la manière dont ce projet a été conduit depuis le début. « Il s’est trompé de chiffres certes, mais la réalité est là » a-t-il laissé entendre.  « Sinon, comment comprendre que dans   un discours de près d’une heure de temps, c’est seulement cette partie qui a attiré l’attention de l’exécutif au point où les lieutenants de Boni Yayi sont montés dès le lendemain sur le terrain pour soulever les populations contre leur frère. » a-t-il poursuivi. Jacques Ayadji pense que dans cette affaire de Bretelle de Bopa, le président de la République et son entourage veulent en découdre définitivement avec le président Mathurin Nago.

 

Yannick SOMALON 

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 17:36

Yayi.jpgLe Président Boni Yayi a procédé ce vendredi 12 septembre 2014 au lancement des travaux d'assainissement et de construction du pont sur la traversée lagunaire de Djonou, entre Womey et Cocotomey, mettant ainsi fin au calvaire des populations riveraines, qui n'ont d'ailleurs pas voulu se faire compter l'événement.

 

Les populations de Womey et de Cocotomey pousseront désormais un ouf de soulagement, et pour cause: la traversée lagunaire de Djonou, à la hauteur de Womey, jadis véritable parcours de combattant, sera bientôt une partie de plaisir. Dans sa politique d'aménagement du territoire et dans le souci permanent de soulager un tant soit peu les peines des laborieuses populations de nos villes et campagnes, Boni Yayi a  donné ce vendredi 12 septembre, le premier coup de truelle au projet de construction du pont reliant Womey à Cocotomey, sonnant ainsi la fin de l'enclavement de cette zone à forte concentration démographique. 

 Le premier adjoint au maire de la ville d'Abomey-Calavi, Leamidy de Dravo, assurant l'intérim du maire empêché, a salué  sa juste valeur la promptitude dont a fait le gouvernement pour trouver en si peu de temps une issue heureuse à ce dossier vieux de plusieurs années. "Grâce à ce pont, se réjouit-il, vous évitez le contournement de plusieurs dizaines de kilomètres, pour les habitants de notre commune. Grace à ce projet, la traversée de Womey sera un jeu d'enfant. Fini les tracas, fini les morts. Nous irons a Accra et a Lomé sans passer par l'échangeur". Il n'a pas manqué d'exprimer la gratitude des populations de Calavi à l'endroit des partenaires qui ont rendu possible cet heureux dénouement, notamment l'Union Européenne et la Banque ouest africaine de développement (BOAD). 

Quant au ministre des travaux publics et des transports Natonde Ake, le projet de construction de ce pont à hauteur de Womey est la preuve de de l'écoute permanente du gouvernement aux différents cris des populations. Avec ce projet, promet-il, les difficultés de circulation qui étaient le lot quotidien des populations, surtout en saison pluvieuse, ne seront bientôt qu'un lointain souvenir, avec à la clé, la réduction sensible du temps de passage, l'accès rapide aux services sociaux de base, sans compter les milliers d'emplois qu'il génèrera. D'une longueur totale de103 m environ, le coût total de l'infrastructure constituée d'un pont métallique et de ses voies d'accès  est de 6 milliards. Elle sera réalisée grâce au concours financier de l'UE et de la BOAD que le ministre a chaleureusement remerciées pour leurs constantes sollicitudes envers notre pays. 

Dans ses mots d'exhortation, le President Boni Yayi a d'abord salué la mémoire des personnes qui ont perdu leur vie en voulant traverser ce pont. Pour lui, les différentes interventions du gouvernement en faveur de la commune d'Abomey-Calavi en général et de la localité de Womey en particulier, prouvent combien le gouvernement est attaché au mieux être des populations. "Womey est au cœur d'Abomey Calavi et Abomey Calavi est au cœur de notre nation", martèle-t-il. Le  Chef de l'Etat a saisi l'occasion pour exhorter les populations à l'accompagner dans cette œuvre de développement de notre pays, qui, dit-il, reste le seul leitmotiv dans son action. Il promet poursuivre, avec l'appui des partenaires au développement, l'œuvre de construction du Bénin en vue d'offrir à chacun une meilleure qualité de vie. A l'endroit de l'UE et de la BOAD et des tous les partenaires en général, Boni Yayi réitère ses gratitudes pour leur disponibilité permanente tout en les exhortant à davantage accompagner notre pays dans sa marche vers le progrès. La cérémonie a pris fin par la pose de la première pierre dudit pont, à la grande joie des populations venues massivement témoigner leur reconnaissance à l'endroit du gouvernement.

 

Bruno OTEGBEYE (Cell.Com/PR)

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8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 04:27

yayi-chez-houngbedji1.jpgLe président Boni Yayi s'est rendu ce dimanche 7 septembre 2014 au domicile du Président du Parti du Renouveau Démocratique (PRD) et ancien Président de l'Assemblee nationale, Me Adrien Houngbedi. Il s'agissait pour le chef de l'Etat de présenter de vive voix à ce dernier, les condoléances de la nation, suite au décès de sa belle-mère.

 

Le Président Boni, fidèle à sa tradition de solidarité qu'il a érigée en mode de gouvernement, est allé réconforter le Président Houngbedji et son épouse suite au décès de sa belle-mère, Amétrona Mary Tordzakpo Adzika, épouse Gomez, rappelée à Dieu il y a peu, dans sa 90ème année. N'ayant pas pu effectuer le déplacement en son temps pour des raisons de calendrier, Boni Yayi avait dépêché une délégation gouvernementale conduite par le ministre d'Etat, François Abiola. 

 yayi-chez-houngbedji3.jpg

Le déplacement de ce jour, précise Boni Yayi, est l'expression de l'attachement de la République à un digne fils de la nation, Adrien Houngbédji et à son épouse. Je tenais vraiment à venir rendre cette visite au nom de la République", confie-t-il. Pour Boni Yayi, vivre au-delà de 80 ans relève d'une bénédiction. Il s'est dit convaincu du rôle discret, mais très efficace qu'à pu jouer maman Amétrona aux côtés de sa fille et du président Houngbédji, dans l'œuvre de construction de la maison Bénin. "Le président Houngbédji est un homme d'Etat. Il fait partie des leaders charismatiques dans notre vie politique et démocratique. Le moins que l'on puisse lui faire, c'est de venir lui présenter les condoléances de la nation", confie-t- il. Les deux personnalités, à en croire le Chef de l'Etat, ont également saisi l'occasion pour partager leur vision pour le développement du Bénin, en termes de consolidation de la paix, de la stabilité, du progrès. Il a enfin souhaité beaucoup de courage au Président Houngbédji et son épouse tout en priant  Dieu de veiller sur eux. 

 yayi-chez-houngbedji4.jpg

En retour, le Président Adrien Houngbédji s'est dit touché par ce geste de cœur du Président Boni Yayi qui l'a agréablement  surpris par cette visite. "cette démarche, se réjouit-il, est la preuve qu'au delà de nos positions respectives, qui sont souvent des postures, il y a en chacun de nous un cœur, un homme un humain." Il a  salué Boni Yayi pour toutes les diligences dont il a bénéficié dans le cadre des obsèques de sa belle-mère. Il n'a pas manqué de remercier également tous les responsables d'institution, les personnalités politiques, les amis et sympathisants et tout le peuple béninois qui, non seulement leur ont apporté un soutien chaleureux tout au long de cette épreuve, mais se sont également mobilisés derrière eux jusqu'à Keta au  Ghana pour les obsèques de maman Amétrona. 

 

Bruno OTEGBEYE ( Cell.Com/PR)

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8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 04:22

Boni yayi ouidah1Le président Boni Yayi a procédé ce samedi 6 septembre 2014, à la cérémonie de lancement des travaux de réhabilitation de la route Come-Lokossa-Dogbo, bretelle Zounhoué-Athiemey. Les autorités locales du Mono-Couffo ont salué le démarrage de ces travaux attendus par les populations.

 

Les déboires et autres accidents enregistrés sur le tronçon Come-Lokossa-Dogbo relèveront bientôt d'un lointain souvenir. Le lancement des travaux sur cet axe stratégique a eu pour cadre la Place de l'indépendance de Lokossa, en présence du Chef de l'Etat lui-même, à la grande satisfaction des populations du Mono-Couffo.

Dans son allocution de bienvenue, le Maire de Lokossa Dakpè Sossou a salué les efforts du gouvernement qui ont permis de concrétiser ce rêve longtemps caressé par ses administrés. "Ce jour est un jour historique qui restera gravée dans la mémoire des générations futures", affirme-t-il. Pour lui, le lancement de ce projet est la preuve de l'engagement du président Boni Yayi à trouver la réponse idoine aux cris de détresse des populations qui éprouvent d'énormes souffrances sur cet axe construit depuis environ vingt-quatre ans. Il n'a pas manqué de rendre un hommage appuyé aux partenaires du projet, en particulier le président de la Banque ouest africaine de développement (BOAD) pour son engagement, sa détermination et son implication dans l'aboutissement du pro jet. Il a enfin émis le vœu de voir le chantier se dérouler conformément au calendrier établi et dans les règles de l'art, car affirme-t-il, "le respect des délais contractuels est une exigence de la démocratie".

Le représentant de la BOAD quant a lui a salué la vision du président Boni Yayi pour le développement du Bénin et de la sous- région ouest africaine. Ce projet, précise t-il, n'est qu'une composante du vaste chantier de construction infrastructurelle mis en œuvre par l'UEMOA pour faciliter les échanges intra et inter-États qui constituent un maillon important de la chaine du développement. Dans ce projet, confie-t-il, la BOAD apporte une contribution de l'ordre de 25 milliards, ce qui porte  à plus de 400 milliards l'intervention de la banque au Bénin dont 150 milliards environ pour les infrastructures routières. 

Le ministre en charge des travaux publics, Natondé Aké pour sa part a tenu à rassurer les populations de la détermination du Chef de l'Etat et de son gouvernement à poursuivre les efforts dans le sens de la densification du réseau routier national. "Cette année, precise-t-il, est celle des grands chantiers routiers." L'objectif, selon lui, est de contribuer a l'accélération de la construction routière en vue de mieux promouvoir l'intégration sous régionale. Dans cette dynamique, la route Comédie-Lokossa-Dogbo, longue de 62 km, est un axe stratégique pour la fluidification des échanges en direction du Togo et des pays de l'hinterland. D'un cout de 43.785.067.698 francs cfa, le projet sera réalisé grâce au concours financier de la BOAD, des banques commercia les et du budget national pour un délai contractuel de deux ans, confie-t-il. Entre autres caractéristique, ajoute le ministre, le projet prévoit un dédoublement dans les villes de Comé, Lokossa, et Dogbo respectivement de 2750 m, 5175 m, et 2150. Plusieurs ouvrages hydrauliques et d'assainissement seront également réalisés, annonce Natondé Aké.

 

Le Président de la République, procédant au lancement des travaux, a exhorté les responsables locaux et les populations à accompagner l'entrepreneur dans la réalisation de l'infrastructure. "la République entend vos souffrances, et la République vous invite à redoubler d'ardeur pour le travail", exhorte Boni Yayi qui promet un avenir radieux pour notre pays. "L'espoir est permis. Le Bénin est en marche. Le Bénin progresse et progressera encore plus vite. Soyez unis pour la République", conclut-il, avant de procéder au dévoilement du panneau du chantier.

 

Bruno OTEGBEYE (Cell.Com/PR)

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8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 04:03

etats genero presse discourLe Commissaire européen au développement Andris Piebalgs a effectué les 4 et 5 septembre 2014 une visite de travail au Bénin. Ce séjour vise a réaffirmer la volonté de l'Union européen d'accompagner le Bénin dans son processus de développement. Plusieurs temps forts ont marqué cette visite à pas de charge.

 

Arrivé dans la soirée du jeudi 4 septembre 2014 en terre béninoise, Andris Piebalgs a une journée de travail bien achalandée ce vendredi 5 septembre. Aux termes d'un  tête à tête avec le Président Boni Yayi et d'une séance de travail élargie aux membres du gouvernement, l'illustre hôte a procédé à la signature au Palais de la Marina de quatre importantes conventions de financement en faveur de notre pays, pour un montant cumulé de de 47 millions d'euros, soit 31 milliards de francs cfa. La première, estimée à 19 millions d'euros, est relative au Projet d'appui au secteur de l'eau et vise à augmenter de façon significative l'accès à l'eau potable des populations ainsi qu'à améliorer l'hygiène en milieu rural. La deuxième, portant sur  un montant de 5 millions d'euros, est relative au Projet d'appui à la gouvernance économique, permettra d'améliorer l'efficacité et l'efficience du système de gestion et d'information des finances publiques. La troisième convention, d'un montant de 15 millions d'euros, concerne le Programme de renforcement des services de transport sur l'axe Bénin-Niger. La dernier convention est relative au Programme d'appui à la justice pour un montant 8 millions d'euros.

Au termes de ces signatures, l'hôte du président Boni Yayi s'est dit très heureux de contribuer au renforcement de la coopération Bénin-Union Européenne qui, selon lui est aborde un nouveau virage, au grand bonheur des populations. Il a saisi l'occasion pour marquer son soutien aux pays de l'Afrique de l'Ouest éprouvés depuis peu par la fièvre hémorragique Ébola. L'UE, à l'en croire a mis en place un appui de 140 millions d'euros pour accompagner la lutte engagée par ce fléau. Le président Boni Yayi a chaleureusement remercié son hôte et plaidé pour la continuation de cette coopération exemplaire qui augure des jours heureux, non seulement pour notre pays, mais aussi pour toute l'Afrique. 

 

La seconde étape de cette visite du commissaire européen au développement s'est effectuée sur la plateforme portuaire pour s'imprégner de l'efficacité des réformes portuaires engagées par le Bénin ces dernières années. le commissaire européen au développement a eu a visiter Roro Terminal Bénin, les deux portiques de Bolloré et la Solutions Technologies des transports du Bénin (STTB). Le Directeur général du port, Samuel Batcho et les responsables des structures visitées S'agissant spécifiquement des Solutions technologiques des transports du Bénin (STTB), le Chef de l'Etat et son hôte  ont eu droit aux explications des responsables de la structure sur le fonctionnement de la carte d'accès des camions à l'enceinte portuaire. Cette carte informatisée, intègre l es données biométriques du transporteur et du camion et permet d'éviter les entrées frauduleuses, ce qui est un gage de sécurité portuaire.

Le Chef de l'Etat et son hôte se sont également  rendus au siège de la Société d'exploitation du guichet unique du Bénin (SÉGUB). Cette visite a permis d'expliquer à Andris Pielbags le fonctionnement du dispositif mis en place par cette structure pour plus de célérité dans les formalités et procédures au niveau des différentes administrations impliquées dans les opérations portuaires, notamment la douane, la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin, les domaines, etc.

Sur chacun de ces sites, Andris Pielbags a apprécié les efforts engagés pour faire du port de Cotonou, un véritable levier de développement. Il a souhaité que ces efforts se poursuivent pour permettre au port de remplir au mieux son statut de moteur de l'économie béninoise et de celle des pays de l'hinterland. 

 

Le dernier acte de la visite au Bénin du Commissaire européen au développement est le déjeuner de gala offert à son honneur par le Président de la République au Palais de la Marina. A cette occasion, illustre hôte a été élevé à la dignité de grand officier de l'ordre national du Bénin.

 

Bruno OTEGBEYE (Cell.Com/PR)

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 04:10

arrive intrants1Le Chef de l'Etat a reçu ce jeudis 4 septembre 2014, les responsables des conducteurs des transporteurs, Claude Quenum et Abdoulaye Ibrahim. Cette audience vise à trouver une solution au récurrent problème des tracasseries routières dans notre pays.

 

La réglementation des postes de contrôle routiers en République du Bénin est régie par le décret du 24 décembre 2013. Mais force est de constater que neuf mois après la prise de ce décret, son application reste toujours sujette à caution. C'est pour porter leur cri de détresse au Chef de l'Etat et trouver une solution durable à ce problème que les principaux responsables des conducteurs et transporteurs du Bénin ont été reçus ce jour au Palais de la Marina. 

Claude Quenum, Secrétaire général de l'Union nationale des conducteurs du Bénin (UNACOB) déplore le non respect de ce décret qui n'honore pas notre pays. Pour lui, il n'est pas concevable que ce décret qui régit la circulation et le transport dans l'espace UEMOA soit mis en veilleuse par les forces de sécurité beninoises au moment même où Boni Yayi préside la conférence des chefs d'Etat de l'Union. Face à ce problème, se rejouit-il, le Chef de l'Etat s'est engagé à prendre lui même le dossier en main. Il aurait  annoncé la tenue d'une séance de travail sur la question, samedi prochain au Palais de la Marina. Ibrahim Abdoulaye, président de l'Union nationale des transporteurs du Bénin, quant à lui plaide pour une mobilisation générale en faveur de cette directive sous-régionale qui est à l'avantage de tous. Il a saisi l'occasion pour solliciter du chef de l'Etat, la reprise de l'escorte militaire au profit des transporteurs en vue limiter les braquages sur nos routes.

 

Le Chef de l'Etat s'est également entretenu avec l'ambassadeur du Bénin près du Bénélux (Belgique, Neerlande, Luxembourg), Charles Borromée Todjinou. Il a été question de la visite qu'effectue à compter de ce jeudi 4 septembre, le commissaire européen au développement, Andris Piebalgs. Cette visite, précise-t-il, sera l'occasion de renforcer davantage la coopération avec l'Union Européenne dont plusieurs responsables sont passés au Benin ces derniers mois. "Il y a un dialogue politique très suivi, très nourri qui se développe entre le Bénin et l'Union Europeene", soutient-il, avant de rassurer des dispositions prises pour une reussite du séjour du séjour de l'illustre hôte.

 

Bruno OTEGBEYE (Cell.Com/PR)

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