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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 04:05

Lire la correspondance de Rosine Soglo

Porto-Novo, le 25 août 2013
Référence : N°029/PN
A
Monsieur le Président du COS-LEPI
Monsieur le Président,

Suite à notre conversation téléphonique de ce jour 25 août 2013, nous nous confirmons qu’en accord avec le Président de la Renaissance du Bénin, nous récusons désormais le membre que nous avons proposé à l’élection du COS, à savoir le député Epiphane QUENUM.
En effet, les agissements de ce dernier, ses multiples déclarations urbi et orbi, frisent la trahison.
De ce fait, la Présidente du groupe Parlementaire Nation et Développement que je suis ne peut admettre davantage que le député Epiphane QUENUM sème la confusion au sein du COS-LEPI et dans l’esprit des militants de notre formation politique. C’est pourquoi, nous formulons notre demande d’exclure définitivement le député Epiphane QUENUM du COS-LEPI.
Nous allons proposer au Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Mathurin Coffi NAGO, le nom d’un nouveau membre au COS-LEPI.
Nous espérons, Monsieur le Président du COS, que vous prendrez, dans les meilleurs délais, les dispositions idoines pour que le député Epiphane QUENUM ne siège plus au sein du COS.
Nous vous indiquons que nous envoyons un exemplaire de cette correspondance au Président de l’Assemblée nationale.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments les meilleurs.

Signé

Rosine VIEYRA SOGLO

Présidente du Groupe Parlementaire ‘’Nation et Développement’’

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 07:41

saka-lafia.jpg

 

CLIQUEZ ICI POUR VOIR LA LISTE : http://www.coslepi-antbenin.org/actu.php?actu=12

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 06:26

maires.jpgAlors que les antirévisionnistes battent de l'aile du fait de la faiblesse de leurs arguments, le Chef de l'Etat de son côté engrange les soutiens. Après celui il y a quelques jours de son opposant numéro 1, Andoche Amègnissè, c'est au tour des soixante maires de la majorité présidentielle d'apporter à Boni Yayi leur soutien indéfectible. C'est ce qui ressort de la déclaration qu'ils viennent de rendre publique à lu faveur du conclave qu'ils ont organisé ce mercredi 28 août 2013 à Dassa-Zoumè.

Lire ci-dessous l'intégralité de cette déclaration.   

DECLARATION DES MAIRES DE LA MOUVANCE PRESIDENTIELLE

 

Les Maires de la Mouvance Présidentielle se sont réunis ce jour Mercredi 28 Aout 2013 à Dassa Zoumè suite aux engagements pris à Logbogo (Commune de BOPA) le 26 Juillet 2013,

Après avoir passé en revue les différents grands projets de développement,

Considérant la nécessité d'une adhésion populaire à ces différents projets;

Considérant le projet de révision de la constitution du 11 décembre 1990 en vue de son actualisation par rapport aux réalités nationales et sous régionales et les débats autour;

Après voir réfléchi au processus de correction de la Lépi en vue des élections transparentes et fiables, les maires de la mouvance présidentielle sortent la déclaration suivante:

1- S'agissant des projets de développement

Les maires:

- S'engagent à poursuivre et à intensifier les campagnes d'information et de sensibilisation en vue de leur réussite pour le bonheur de leur population et de la nation toute entière,

- Encouragent le gouvernement dans sa volonté politique de trouver des solutions à l'emploi des jeunes car le développement de nos communes et de la nation en dépend.

- S'engagent à soutenir et à accompagner le gouvernement dans ce cadre.

2- S'agissant de la révision de la Constitution

Les Maires :

- Réitèrent leur soutien à ce projet de révision car il n'est pas opportuniste mais s'impose parce qu'il vise à assurer le fonctionnement harmonieux de notre pays;

- Déplorent la tournure donnée aux débats par les détracteurs et marchands d'illusion dont les arguments ne sont fondés que sur la suspicion pour leur intérêt personnel et égoïste;

- S'engagent à mutualiser leurs efforts en vue d'apporter la vraie information à la population afin d'éviter des troubles inutiles à notre pays.

3- S'agissant du processus électoral

Les Maires de la mouvance présidentielle:

- S’engagent à appuyer tous les organes par le passé en vue de la correction de la Lépi, gage d'élections transparentes et paisibles;

- En appellent à toute la classe politique nationale et aux organisations de la Société civile de se départir de certaines formes de réactions négatives basées sur l'intoxication, la manipulation, la suspicion et les injures;

- Invitent le Chef de l'Etat à rester serein, à poursuivre courageusement le processus de révision de la Constitution qui entre dans la logique de bonne gouvernance constitutionnelle et à surtout continuer les initiatives de projet de développement pour le bonheur du peuple béninois.

Fait à Dassa Zoumè, le 28 Aout 2013

Ont signé

Les 60 Maires de la Mouvance Présidentielle

 

Source quotidien "L’Aurore"

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 07:00

jeune-afrique-logo.jpgLa rubrique "Confidentiel" du dernier numéro de Jeune Afrique (n°2746 du 25 au 31 août 2013) contient un article intitulé "Bénin, Talon, Yayi et le Mercredi rouge". Cette indiscrétion met en évidence les connivences que tout le monde perçoit mais que beaucoup trop ne veulent pas voir en face : celle du lien entre la soit-disant révolte populaire du Mercredi rouge, avec l’affaire Patrice Talon.

La création soudaine au Bénin du Mercredi rouge, farouchement hostile au projet de réforme  de la constitution, ne doit rien au hasard. L’un des ses principaux dirigeants, Joseph Djogbenou, n’est autre que l’avocat de Talon, l’homme d’affaires poursuivi pour tentative d’empoisonnement contre le Chef de l’Etat, Boni Yayi, en octobre 2012. Pour le pouvoir le scénario brandi par le Mercredi rouge – la réforme  de la Constitution permettrait au président (lequel effectue, aux termes de l’actuelle Loi fondamentale, son second et dernier mandat) de se représenter en 2016 en passant à une nouvelle République – est un écran de fumée. La raison réelle de cette opposition concerne plutôt l’une des dispositions de la réforme : l’imprescriptibilité des crimes économiques. Or, Patrice Talon est également visé par sept plaintes économiques, notamment dans le secteur de coton et sur le programme de vérification des importations (PVI) au port de Cotonou.

Sans grande surprise, La Nouvelle Tribune – ouvertement anti-Yayi et pro-Talon (il suffit de lire ses articles pour s’en convaincre…) – a rapidement réagi et accuse Jeune Afrique de faire de la désinformation. Ce qu’à notre tour nous pouvons reprocher aux auteurs de cet article et nous interroger : pour qui roule donc La Nouvelle Tribune ? Nous serions en effet curieux de connaître les noms des actionnaires, soutiens et "parrains" du journal béninois… Qui paye son impression ? Qui a financé la restructuration récente de son site Internet ?

Plus sérieusement, revenons à la question de réforme de la Constitution. Discuté à l’Assemblée nationale depuis le 6 juin 2013, le projet de réforme de la Constitution (1990) ne prévoit que trois dispositions :

la création et la constitutionnalisation de la Cour des comptes,

la constitutionnalisation de la Commission électorale nationale autonome (CENA),

l’imprescriptibilité des crimes économiques.

L’article 42 qui fixe à deux le nombre de mandats présidentiels et l’âge maximum pour être candidat (70 ans) n’est pas concerné. Cet article a été sanctuarisé par la Cour Constitutionnelle et la loi référendaire du 18 janvier 2012 exclut le recours au référendum sur cette question. Quant au scénario d’une Seconde République qui remettrait à zéro le nombre de mandat effectué par Boni Yayi : la France a connu 24 révisions de la Constitution depuis 1958 et vit toujours sous la Vème République !…

Et en bonus, un extrait  de l’intervention de Théodore Holo, Président de la Cour Constitutionnelle, lors de la rencontre périodique des présidents des institutions. 

theodore-holo.jpg"Il est évident que dans le projet de loi tel que nous en avons pris connaissance, projet de loi portant révision de la constitution, il y a des éléments positifs qui contribuent au renforcement du processus démocratique, ne serait-ce que par rapport à la question de l’imprescriptibilité des crimes économiques, ne serait-ce que par rapport à l’exigence de la création d’une Cour de Comptes qui est une directive de l’UEMOA, ne serait-ce que par la professionnalisation de la Commission Electorale Nationale Autonome qui doit être le garant de la qualité des élections qui sont organisées au Bénin. Parce que nous savons, vu l’expérience des pays de la sous région que des élections mal organisées sont sources souvent de tensions et de violences déstabilisatrices de la stabilité politique. Nous avons observé que dans le projet qui est envoyé à l’Assemblée, des propositions pertinentes ont été faites à ce niveau. Mais je me dois de rappeler que les Présidents des Institutions ont observé également que depuis 2007, la Cour Constitutionnelle a rappelé dans une de ces décisions que toute réforme, toute révision de la constitution doit se faire en essayant comme nous l’avons fait à la conférence nationale d’avoir le consensus ; comment travailler pour que ce consensus soit réalisé. Je pense que les différents membres des institutions présentes à cette rencontre vont continuer à réfléchir sur la question pour que dans le débat qui se mène, nous créons les conditions pour que ce consensus puisse être réalisé. D’abord il faut que la population puisse s’approprier les éléments du projet de loi qui a été envoyé à l’Assemblée Nationale. Je pense que la question doit être également discutée dans le cadre du processus d’élaboration ou d’adoption des lois au niveau de l’Assemblée Nationale. Le peuple ne peut pas être indifférent ou ignorant de ce qui se fera dans le cadre de l’adoption de toute question relative à la réforme ou à la révision de la constitution comme nous l’avons eu à le faire en 1999 où il est question d’adopter la constitution de 1990 ; il a fallu que le peuple s’en approprie, ce qui fait qu’aujourd’hui, le peuple est le meilleur garant de la mise en œuvre ou du respect de l’ordre constitutionnel. Déjà pendant la période révolutionnaire, nous avons pris l’habitude de la popularisation des projets de lois portant révision ou portant adoption de la constitution. Si ce travail est fait, seul béninois se sentira concerner par le compte tenu de la constitution et sera prêt à le défendre, ce qui donne une garantie pour la préservation de l’ordre constitutionnel. Il faut travailler à ce que cette condition ne soit réalisée et je pense que les différents acteurs sont convaincus de la nécessité de ce débat. Ce débat suppose que nous soyons prêts à faire les compromis et les concessions utiles. Cela suppose que nous sachions de quoi il s’agit. Et j’ai eu le plaisir de savoir qu’au niveau déjà des maires, un travail d’appropriation à été fait. Au niveau également des députés un travail a été fait. Il y a aussi les acteurs politiques ; il y a aussi les organisations de la société civile qui ont besoin de s’approprier les éléments de ce projet de révision pour que si le débat doit se faire, que cela se fasse dans un esprit apaisé ; que chacun sache de quoi il s’agit et que nous comprenions que ce qui est fait va dans le sens de la consolidation des acquis démocratiques. Ces questions ont été abordées donc par les Présidents des Institutions et voilà la tendance qui se dégage, qui est le reflet de la position de la concertation. Mais vous savez que nous acteurs de la Cour Constitutionnelle, nous avons naturellement une obligation de réserve. Mais nous n’en demeurons pas moins des citoyens attentifs à la création des conditions d’une démocratie apaisée."

 

 28 août 2013  · par vuitens · dans Uncategorized

 

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 06:25

Marche journalistesA la faveur de la foire d’empoigne qui agite le landerneau politique nationale, une nouvelle nébuleuse, la convention patriotique des forces de gauche, a vu le jour. Elle a aussitôt a appelé à une manifestation samedi dernier pour prendre rang parmi ses semblables. Les multiples marchands d’illusion qui à la faveur de la générosité des médias croient encore compter pour quelque chose dans la vie politique du pays.

On rirait simplement de tout ceci s’ils ne s’en tenaient qu’à leur exercice préféré l’intox. Mais lorsqu’ils prennent date pour troubler la quiétude de nos paisibles populations,  il convient de les  rappeler simplement mais fermement à l’ordre comme cela se fait dans toutes les démocraties du monde ou il n’y a aucune concession sur le maintien de l’ordre public.

Revisitons l’histoire de notre parcours démocratique.  Alors nous pouvons être heureux et fiers que nos populations aient toujours su faire preuve de discernement et qu’à aucun moment elles n’ont favorisé la chienlit. La paix et la stabilité dans notre pays doivent beaucoup à cette vigilance que notre peuple a intégrée dans sa conscience collective.

Au grand dam de nos prestidigitateurs politiques elle ne s’est nullement émue de leurs gesticulations et des cris d’orfraie qu’ils poussent à tout va. Et pour cause. L’allure qu’on voudrait imprimer actuellement au débat politique laisse perplexe tant elle étonne par ses amalgames, ses anathèmes et surtout son agenda implicite et dangereux qui est le bouleversement de l’ordre constitutionnel actuel légalement et légitimement établi.

Tous les démocrates du monde entier sont d’avis qu’il s’agit de la pire des solutions. Une telle aventure conduit toujours à un désordre politique, économique et social inextricable qui conduit à l’anarchie et au chaos. Après plus de vingt ans de démocratie éprouvée, le Bénin peut faire l’économie de  tels  avatars.

Tous les étrangers qui foulent le sol de notre pays aujourd’hui montrent beaucoup  d’étonnement par rapport au calme qui règne et l’apocalypse proclamé par certains de ses propres fils. Ces voyageurs constatent simplement que ça ne va pas plus mal ici qu’ailleurs. La crise est partout. Comme ces voyageurs, les hauts bourgeois de la république qui ne se consolent pas d’avoir perdu le pouvoir depuis 2006 le savent très bien.  Ils sont sur toutes les chaines de télévision du monde entier. Ils savent tout ce qui se passe en cote d’ivoire, en France, au Brésil en Grand e Bretagne etc.

Pourquoi alors persistent-ils  et cherchent- ils fébrilement à embraser  le pays ? La réponse à cette question, c’est la  nébuleuse «  convention patriotique des forces de gauche » qui l’apporte. Les mariages incestueux auxquels nous assistons et qui n’ont que comme seul but de déstabiliser Yayi Boni sont affligeants.

Il est en effet  curieux aujourd’hui que contre Yayi Boni une alliance soit faite entre le PCB et L’UN dont le président n’a jamais été en odeur de sainteté ni chez le PCD, ni chez le PCB. Tous ces adversaires irréductibles convolent aujourd’hui en justes noces parce qu’il faut faire tomber yayi Boni. Il s’agit d’une haine et d’une vengeance qui n’ont rien à voir avec la révision de la constitution. Et lorsque les hommes d’affaires font chorus avec eux, nous sommes toujours dans le registre des amalgames savamment entretenus pour assouvir les haines et les rancœurs.

Narcisse ALAIN

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 04:42

mercredi rouge5 copie(S'il est "garçon" qu'il vienne affronter son "ami" Yayi)

Depuis quelques temps, les citoyens Béninois sont habitués à une nouvelle mode le rouge des mercredis. Mais à y voir de plus prêt, on y voit la main de l'ancien seigneur béninois du coton. Pour preuve.

 

La tête de pont du mouvement "Mercredi Rouge" n'est personne d'autre que Me Joseph Djogbénou. C'est cet acteur de la société civile qui est l'initiateur du mouvement du port du rouge pour dire "Non" à la révision de la constitution. A première vue, on pourrait dire que ce dernier n'est que dans la logique de sa lutte citoyenne. Mais en réalité, c'est du leurre et du bluff. Car Me Joseph Djogbénou est en réalité l'avocat constitué de Patrice

Talon dans les affaires de tentative d'empoisonnement et/ou d'assassinat. Deux dossiers qui se sont d'ailleurs soldés par des non-lieux miraculeux en cascade dont l'avocat et le juge Houssou sont seuls les deux en détenir l'alchimie. Me Djogbénou a voulu donc achever le boulot en beauté en usurpant de son manteau d'acteur de la société civile, membre de force élection, force Lépi et suite pour se transformer en bras opérationnel de Talon qui l'utilise désormais à des fins malsaines. Car du point de vue intellectuel, Professeur Djogbénou sait très bien que la révision de la constitution est-une nécessité pour suivre le mouvement des démocraties moderne. Mais tout le monde sait que rien ne résiste à Talon. Même la nièce et autres parents proches de Yayi n'ont pu échapper à la tentation des liasses du baron béninois du coton.

Le conditionnement est encore plus facile pour ce qui est du cas Djogbénou. L'avocat V.I.P ne s'allie qu'aux gros bonnets. C'est d'ailleurs ce qui fait sa fortune. Il avait démarré en trombe avec l'affaire Hamani où il avait réussi a sauvé la peau de l'escroc international. En fonction du portefeuille, Me Djogbénou fait du bon boulot. Et ici, il ne s'agit pas seulement de blanchir Talon malgré les chefs d'accusations kilométrique alignés par le Procureur général du parquet de Cotonou assisté de Me Attita Kato ; mais aussi de rendre le pays ingouvernable Yayi pour le virer en 2016 avec son fameux projet de révision coincé dans sa gorge comme un os. Et même si la révision de la constitution arrangeait le peuple, Djogbénou est obligé de la combattre. Car il en a donné sa parole à l'autre qui est exilé en France. Le constat ici est que Me Joseph Djogbébou est désormais plus fort que son maitre à pensée Me Paul Attita Kato dont il était jusqu'en 2011 le substitut. Mais la fin de ce scenario ne risque t elle pas de ressembler à celui du film "Mon Client" produit à Hollywood ? Bien main qui pourra répondre à cette interrogation.

L'Imprudence de Talon Juste aux lendemains de sa fugue du Bénin, l'homme d'affaire Patrice Talon criait à qui veut bien l'entendre que ses démêlés avec Yayi ont commencé avec son opposition à la révision de la constitution. La suite, on assiste à un long métrage judiciaire dans lequel Me Djogbénou est commis avocat de la défense. Mais cette position, on ne devait plus lui confier le rôle d'antirévisionniste de premier ordre. C'est trop fragrant. Ils auraient du choisir un autre guignol qui n'a pas été trop dans ces différents dossiers comme ce fut le cas de Me Djogbénou. Quelqu'un comme Urbain Amègbédji ou autre aurait pu bien faire l'affaire. Mais à nous présenter l'avocat de Talon comme un citoyen désintéressé dans une lutte contre la corruption, ce n'est pas bien intelligent de la part de Talon.

C'est à croire que tous les Béninois ont de l'eau de coco à la place de la cervelle. Mais c'est une erreur grave. Car tout le monde sait que tous ceux qui portent du rouge les mercredis dans nos rues sont conditionnés. Mêmes les T-shirt sont fournis par une source connue de tous et ce n'est guère l'avocat. De plus, l'avocat a annoncé qu'il défendrait tous ceux qui seront arrêtés dans cette affaire pour trouble à l'ordre public. Il faut bien quelqu'un pour payer ses honoraires. Mais qui c'est? L'avenir nous le dira.

Boris S. Tongan

 

Quotidien L'ENQUETEUR

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 06:37
Le commissariat de Godomey vient réaliser un exploit. Il a mis la main sur un réseau d’étudiants fraudeurs de diplômes.

Un réseau de faussaires a été mis aux arrêts par les éléments du commissariat de Godomey. Appréhendés suite à plusieurs jours d’enquête, ils ont été présentés dans la soirée de ce lundi 26 août 2013  à la presse dans les locaux dudit commissariat. Ils sont au total 68 étudiants dont seulement les deux cerveaux, les intermédiaires, quelques complices et demandeurs de service de falsification ; ils séjournent actuellement au commissariat sous la haute surveillance du commissaire d’arrondissement, Léopold Amadjikpè. D’après les propos des deux cerveaux de la clique, Patrice Gayet et  Côme Ganga, tous étudiants  en fin de formation,  leur mode opératoire consiste à  prendre les relevés de notes des nouveaux étudiants n’ayant pas réuni la moyenne d’obtention de l’allocation de secours universitaire qu’ils vont scanner. Après cette étape, ils modifient la moyenne afin de permettre à l’individu  de réunir  la moyenne de 11/20 lui donnant droit à une allocation (le secours). Une fois le document scanné, ils posent là-dessus un cachet de notaire de Porto-Novo qu’ils ont confectionné pour se légaliser les documents. A cet effet,  ils ont confié qu’ils reçoivent une somme de 25.000 francs  sur chaque dossier pour sa finalisation. Pour expliquer  la procédure  de démantèlement du réseau, le commissaire de Godomey, Léopold Amadjikpè  indique que c’est suite à des rumeurs dans le rang des étudiants qu’il a dépêché certains de ses éléments sur le dossier. Aujourd’hui, les enquêtes ont révélé que les faits sont  avérés. A en croire le commissaire,  c’est une situation qui fait perdre énormément à l’Etat. Car, pour ce seul réseau, les frais à payer relatifs aux dossiers saisis sont évalués à 9.018.600 fcfa pour les procès-verbaux (Pv) 13 et 14  qui sont déjà  programmés pour être payés mais dont le payement tarde à cause de la lenteur administrative. Présent sur les lieux, le Commissaire central d’Abomey-Calavi Samuel Atchou, qui s’est fait accompagner du commissaire Séraphin Lossikindé, a appelé la communauté universitaire notamment les nouveaux étudiants à la vigilance afin d’éviter ces pièges de certains étudiants ; car ce ne sont que des pratiques  contraire à l’éthique et la morale. Pour l’heure, la réaction des responsables de la Dbsu est vivement attendue. Car selon les informations données par le commissaire de Godomey, aucune présence des responsables n’est encore enregistrée au commissariat sur le dossier en dépit  de l’information porté au directeur adjoint qui a confié que  le directeur en personne était en réunion. Actuellement, le procureur est déjà saisi du dossier pour la suite à lui donner.

Emmanuel GBETO (Stag académique)

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 05:14

Mercredi rougeMercredi rouge a création soudaine   au Bénin       du mouvement mercredi rouge farouchement hostile au projet de la reforme de la Constitution ne doit rien au hasard.

L'un de ses principaux dirigeants Joseph Djogbenou n'est autre que l'avocat de Patrice Talon, l'homme poursuivi pour tentative d'empoisonnement contre le Chef de l'Etat, Boni Yayi en octobre 2012. Pour le pouvoir, le scénario brandit par Mercredi Rouge - la reforme de la Constitution permettrait au Président (lequel effectue aux termes de l'actuelle loi fondamentale, son second et dernier mandat) de se représenter en 2016 en passant à une nouvelle République est un écran de fumée. La raison réelle de cette opposition concerne plutôt l'une des dispositions de la reforme L'imprescriptibilité des crimes économiques. Or Patrice Talon est visé par sept (07) plaintes économiques, notamment dans le secteur du coton et sur le Programme de vérification des importations (PVI) au Port de Cotonou

Source : Jeune Afrique

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 05:07

Augustin-Ahouanvoebl-Helene-Aholou-Keke.JPGLe tout nouveau président de la Fédération Béninoise de Football, député et Président du groupe parlementaire PRD à l’Assemblée Nationale Augustin Ahouanvoebla a porté la main sur sa collègue Me Hélène Aholou Kêkê, présidente de la commission des lois dans ladite assemblée au cours d’une réunion du comité d’orientation et de supervision de la Lépi (Cos/Lepi) dont eux deux sont membres. Un acte que beaucoup ne comprennent pas. 

 

L’incident c’est produit vendredi dernier à Aglangandan la veille de l’assemblée générale élective de la Fédération Béninoise de Football, au siège du comité d’orientation et de supervision de la Lépi (Cos/Lepi) où se tenait une rencontre entre les membres de cette institution crée par le parlement pour corriger la Liste électorale permanente informatisée. 

 

Si dans un premier temps l’information a été dissimulée, KOACI.COM a fini par avoir fuite ce cette affaire ô combien défavorable pour les types de personnages en jeu. En effet, au cours de la rencontre des membres du comité d’orientation et de supervision de la Lépi (Cos/Lepi) les deux parlementaires ont commencé par discuter d’une affaire de 23 millions que la justice a reprochés à l’honorable Augustin Ahouanvoebla lors de son passage à la tête du Centre National de Production de Manuels scolaires

 

Ceci devant le président du COS/LEPI l’honnorable Sacca Lafia et de ses collègues, Chabi Sika, Basile Ahossi, Louis Vlavonou, Nicaise Fagnon et Charlemagne Honfo. Me Hélène Aholou Kêkê est avocat de cette structure de l’Etat où son collègue a été directeur adjoint puis directeur. Sa gestion s’est soldée par un détournement de 23.745.500 Fcfa.

 

Le jugement n°78/Ccom/2004 du 04 novembre 2004 de la chambre de droit civil moderne et commercial du Tribunal de première instance de Porto-Novo qui «condamne Augustin Ahouanvoebla à payer au Centre National de Production de Manuels scolaires la somme de 23.745.500 Fcfa, outre les intérêts de droit à compter du 08 mai 2001, date de la sommation de payer ». 

 

Mais avant cette décision, la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Cotonou avait prononcé « la mise en accusation de Augustin Ahouanvoebla pour détournement de deniers publics ; crime prévu et puni par l’article 3 de l’ordonnance 79-23 du 10 mai 1979 » et décerne ordonnance de prise de corps contre lui. Ce dernier n’a pas depuis lors reversé un franc à la srtucture. C’est ainsi que le nouveau directe du centre à instruit l’avocat par une lettre en date du 20 juin 2013, pour recouvrer la créance de la maison. 

 

Ce que le cabinet de Me Hélène Aholou Kêkê a mis en exécution en saisissant le tribunal de première instance de Porto-Novo au sujet des dossiers n°417/Rp-01 et 05/RI. C’est donc au des explications entre eux deux que le ton est monté et que le député et Président du groupe parlementaire PRD à l’Assemblée Nationale Augustin Ahouanvoebla a porté un coup sur la joue sur sa collègue Me Hélène Aholou Kêkê, présidente de la commission des lois dans ladite assemblée.

 

Il a été soutenu par Charlemagne Honfo qui reprochait à dame Aholou de vielle querrelle politique de la zone de l’Ouémé leur base à eux tous. Les députés Chabi Sika, Basile Ahossi ont pu séparer les antagonistes. Dame Aholou Kêkê est allé porter plein et a mise l’affaire aux mais de la justice après avoir s’être fait examiner par un médecin assorti d’un certificat médical. 

 

Sékodo

Source : http://www.koaci.com/articles-85000

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 05:35

Cour constitutionnelleA l’issue de la rencontre périodique des Présidents des Institutions de la République, tenue le vendredi 23 août dernier, le Professeur Théodore HOLO, Président de la Cour constitutionnelle désigné porte-parole de ses pairs (présidents des institutions de la république), a livré à la presse la teneur des sujets débattus au cours de leur concertation. Des sujets brûlants de l’actualité nationale comme la question de la Révision de la constitution en passant par les performances de l’économie béninoise dans le concert des pays de la sous-région, de l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et l’intoxication organisée pour discréditer le régime en place, le Président de la Cour constitutionnelle n’a pas usé de la langue de bois. S’appuyant sur les statistiques officielles rendues publiques récemment par les institutions financières de la sous-région et les observations des partenaires techniques et financiers du Bénin, Théodore HOLO a confondu les détracteurs du Président Boni YAYI tout en réitérant avec force conviction que le Bénin est sur la bonne voie dans la lutte pour la réduction de la pauvreté  grâce à ses performances économiques enviables actuelles.

Lire ci-dessous l’intégralité de la déclaration du Président Théodore HOLO)

« Nous nous retrouvons essentiellement pour évoquer les problèmes qui interpellent la nation. Et du tour d’horizon que nous avons eu à faire avec les membres du gouvernement, et compte tenu de nos propres expériences, des informations que nous avons échangées, il est évident que nous observons aujourd’hui dans notre pays un déficit de communication. Il y a des choses positives qui se font au regard des informations qui nous sont fournies et par le gouvernement et par les organisations internationales, les statistiques qui nous sont également fournies, que le Bénin est sur la bonne voie. Evidemment ces informations ne sont pas malheureusement connues de l’ensemble et on a l’impression, à écouter les uns et les autres, que le Bénin n’avance pas. Il est donc utile que se développe la communication parce que quelles que soient nos positions, nous avons une préoccupation commune : c’est le développement de notre pays. Et ce développement ne peut se faire que s’il y a la paix. Et les conditions de la paix s’organisent à travers les concertations qui doivent être à mon avis périodiques. Nous, nous le faisons au niveau des institutions. Nous souhaitons qu’au niveau de notre pays, nous puissions créer les conditions de cette concertation.

Comme vous le savez, la presse en fait souvent l’écho : il y a un débat qui se mène aujourd’hui sur la révision de la constitution. Les présidents des institutions ne peuvent pas se rencontrer sans évoquer naturellement la question ; ce qui a été fait. Malgré ma position de Président de la Cour Constitutionnelle soumis à une obligation de réserve puisque appelée à me prononcer peut être en tant que juridiction sur la question, je me dois de rendre compte de la tendance générale qui n’est pas l’expression d’un individu mais qui est l’expression d’une concertation. Il est évident que dans le projet de loi tel que nous en avons pris connaissance, projet de loi portant révision de la constitution, il y a des éléments positifs qui contribuent au renforcement du processus démocratique, ne serait-ce que par rapport à la question de l’imprescriptibilité des crimes économiques, ne serait-ce que par rapport à l’exigence de la création d’une Cour de Comptes qui est une directive de l’UEMOA, ne serait-ce que par la professionnalisation de la Commission Electorale Nationale Autonome qui doit être le garant de la qualité des élections qui sont organisées au Bénin. Parce que nous savons, vu l’expérience des pays de la sous région que des élections mal organisées sont sources souvent de tensions et de violences déstabilisatrices de la stabilité politique. Nous avons observé que dans le projet qui est envoyé à l’Assemblée, des propositions pertinentes ont été faites à ce niveau. Mais je me dois de rappeler que les Présidents des Institutions ont observé également que depuis 2007, la Cour Constitutionnelle a rappelé dans une de ces décisions que toute réforme, toute révision de la constitution doit se faire en essayant comme nous l’avons fait à la conférence nationale d’avoir le consensus ; comment travailler pour que ce consensus soit réalisé. Je pense que les différents membres des institutions présentes à cette rencontre vont continuer à réfléchir sur la question pour que dans le débat qui se mène, nous créons les conditions pour que ce consensus puisse être réalisé. D’abord il faut que la population puisse s’approprier les éléments du projet de loi qui a été envoyé à l’Assemblée Nationale. Je pense que la question doit être également discutée dans le cadre du processus d’élaboration ou d’adoption des lois au niveau de l’Assemblée Nationale. Le peuple ne peut pas être indifférent ou ignorant de ce qui se fera dans le cadre de l’adoption de toute question relative à la réforme ou à la révision de la constitution comme nous l’avons eu à le faire en 1999 où il est question d’adopter la constitution de 1990 ; il a fallu que le peuple s’en approprie, ce qui fait qu’aujourd’hui, le peuple est le meilleur garant de la mise en œuvre ou du respect de l’ordre constitutionnel. Déjà pendant la période révolutionnaire, nous avons pris l’habitude de la popularisation des projets de lois portant révision ou portant adoption de la constitution. Si ce travail est fait, seul béninois se sentira concerner par le compte tenu de la constitution et sera prêt à le défendre, ce qui donne une garantie pour la préservation de l’ordre constitutionnel. Il faut travailler à ce que cette condition ne soit réalisée et je pense que les différents acteurs sont convaincus de la nécessité de ce débat. Ce débat suppose que nous soyons prêts à faire les compromis et les concessions utiles. Cela suppose que nous sachions de quoi il s’agit. Et j’ai eu le plaisir de savoir qu’au niveau déjà des maires, un travail d’appropriation à été fait. Au niveau également des députés un travail a été fait. Il y a aussi les acteurs politiques ; il y a aussi les organisations de la société civile qui ont besoin de s’approprier les éléments de ce projet de révision pour que si le débat doit se faire, que cela se fasse dans un esprit apaisé ; que chacun sache de quoi il s’agit et que nous comprenions que ce qui est fait va dans le sens de la consolidation des acquis démocratiques. Ces questions ont été abordées donc par les Présidents des Institutions et voilà la tendance qui se dégage, qui est le reflet de la position de la concertation. Mais vous savez que nous acteurs de la Cour Constitutionnelle, nous avons naturellement une obligation de réserve. Mais nous n’en demeurons pas moins des citoyens attentifs à la création des conditions d’une démocratie apaisée.

Je crois que la question également de la vie sociale a été abordée et les questions spécifiques à chaque institution pour qu’elle ait les moyens de réaliser ou de mettre en œuvre les prérogatives qui sont les siennes. Ces questions ont été abordées.

Nous sommes aussi en période budgétaire et la question du budget qui doit prendre en compte les préoccupations de la société, même si le budget doit être voté par l’Assemblée Nationale. Cette question a fait l’objet également de concertation. Et nous étions en quête d’informations pour savoir ce qui peut être fait pour que chaque béninois se retrouve également dans le projet de budget afin que les efforts qui sont réalisés par le gouvernement puissent en profiter à tout le monde et que nous vivions dans un pays de prospérité partagée.

Il y a eu des concertations au niveau d’abord des députés aussi bien de la majorité que de l’opposition. Il y a eu des tournées à l’intérieur du pays pour pouvoir sensibiliser l’opinion publique sur la question. L’Assemblée Nationale a également envoyé le projet aux maires pour recueillir leurs préoccupations. Et je pense que dans le processus d’élaboration de la loi, les commissions compétentes au niveau de l’Assemblée ont l’opportunité d’écouter les différentes composantes de notre société qui sont concernées. Si vous souvenez pour le droit de grève par exemple, les parlementaires ont écouté les syndicalistes, ont écouté aussi d’autres personnalités. Il y a donc une procédure qui sera respectée. L’Assemblée est responsable de cette démarche ; mais la Cour Constitutionnelle ne peut pas intervenir dans ce travail de popularisation encore moins la Cour Suprême et la Haute Cour de Justice. Mais naturellement la Cour Constitutionnelle doit tenir compte également de l’effort réalisé en matière de recherche de consensus pour être conforme à sa jurisprudence 2007. Donc chaque Institution membre de la concertation accomplira sa mission en tenant compte de ses prérogatives pour ne pas être en rupture avec notre constitution. Donc je ne peux pas vous dire voilà ce que chaque Institution doit faire ; il appartient à chaque Institution de mettre en œuvre sa mission dans le respect de l’ordre constitutionnel de notre pays.

Question : D’accord. Alors sur la santé de notre pays vous avez dit tout à l’heure que selon les institutions internationales et les informations du gouvernement, le Bénin se porte bien. Mais est ce que vous consultez les syndicalistes et mieux la société civile pour recueillir leur avis ?

T.H : Vous savez je suis un citoyen et je ne discute que sur la base d’éléments concrets. J’ai eu connaissance des statistiques de la Banque Mondiale, j’ai eu accès aux informations de l’UEMOA qui font le classement des pays au sein de l’UEMOA. Je pense que et vous êtes au courant puisque certains journaux en ont rendu compte, sur les huit membres de l’UEMOA, le Bénin est quand même en troisième position après la Côte d’Ivoire et le Sénégal. Vous savez également qu’au niveau des Objectifs du Millénaire pour le Développement, le pays fait partie des neuf pays qui sont assurés d’atteindre ces objectifs en 2015. Je pense que les statistiques prouvent également que le Bénin, le Rwanda et neuf autres pays ont fait l’effort pour la réduction de la pauvreté, les statistiques prouvent que le revenu par tête d’habitant au Bénin en 2006 est de 400 dollards, qu’en 2011/2012 nous nous retrouvons à 800 dollards. Ce sont des chiffres qui ne mentent pas et par conséquent je n’ai pas besoin de dire que je vais consulter les syndicalistes ; je veux entendre les données de ceux qui sont nos partenaires qui apprécient nos efforts. Que vous me disiez comment cette richesse est repartie, c’est une autre question dont je ne débattrai pas avec vous parce que cela m’amènera à sortir de mon obligation de réserve pour rentrer dans la politique au quotidien. Je travaille sur les chiffres parce que les chiffres ne trahissent pas ma réserve en tant que Président de juridiction. Mais ces chiffres ne mentent pas pour le moment à moins qu’on nous dise que la Banque mondiale, que l’UEMOA se soient trompées, ce qui n’est pas le cas pour le moment. Est-ce que chaque Béninois vit au quotidien ce changement ? Je prends mon cas en tant qu’enseignant du supérieur ; le salaire que j’ai en 2006 n’est pas le salaire que j’ai en 2013. Et de façon générale quand je prends les enseignants, ils n’ont pas le même salaire en 2006 qu’aujourd’hui. Ce qui veut dire que, quand je prends mon cas personnel, il y a un effort de redistribution. Mais ce n’est pas le débat que je vais mener puisque cela ne participe pas du travail que nous avons eu à faire au niveau des Présidents des Institutions.

Transcription : A. Biaou

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