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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 06:28

femme-nue-lit.jpgCette femme s’est réveillée ce mardi matin… dans le lit d’un inconnu à Luxembourg-Ville.

Paniquée et encore fortement alcoolisée, elle s’est rendue, aux environs de 8h, au commissariat de la ville… entièrement nue ! Les policiers lui ont passé un survêtement avant qu’une amie vienne la chercher…

http://tianplus.blogs.nouvelobs.com/tag/sexe

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14 décembre 2012 5 14 /12 /décembre /2012 07:53
specatcle-zangbeto.jpgL'église évangélique ''Ministère du messager du salut'' sise à Adjarra, au quartier Houandji dans le marché central de ladite commune précisément au niveau du stand de vente des bicyclettes a reçu il y a deux jours des visiteurs indésirables. Des zangbétô du quartier ont pour un oui ou un non saccagé ladite église.

A l'origine était un conflit domanial qui opposait la responsable de cette église aux familles qui ont cédé la parcelle qu'occupe cette église. Ceux-ci étaient jusque là d'accord que cette parcelle qui est une partie de la grande cour du fétiche Houandji soit occupée par le bâtiment de l'église mais non pour servir d'église puisqu'au préalable cette parcelle a été donnée à la mère de la responsable de ladite église pour servir de lieu de vente de nourriture. Alors que s'est annoncée la commémoration annuelle de ce fétiche, les adeptes de ce dernier ont selon la responsable de l'Eglise Ministère du messager du salut Florence Adjibadé, fait usage du Zangbétô dans la nuit du jeudi 06 Décembre 2012 et ont défoncé la porte de cette église pour saboter leurs installations. Ils y sont revenus, dans la nuit du samedi pour replacer certains effets emportés. Saisi, le chef des Zangbétô, Kpakliyao aurait tenu en urgence une réunion hier au siège du Kpakliyao à Avassa à Porto-Novo où ont été convoqués les différents antagonistes. Au cours de la rencontre, les dignitaires ont situé les responsabilités. Il a été défendu aux Zangbétô de pareils comportements qui n'honorent guère les cultes endogènes dans notre pays. Kpakliyao a donc assuré de ce qu'après la commémoration annuelle du vodoun Houandji l'église évangélique rouvrira ses portes.

Vitali Boton
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14 décembre 2012 5 14 /12 /décembre /2012 07:32

journaux2foyers monoparentaux

Un phénomène de plus en plus fréquent au Bénin

Unis hier, solitaire aujourd’hui. La prolifération des couples monoparentaux semble prendre de l’ampleur dans la société béninoise. Loin d’être un fait banal, c’est un fait social qui touche toutes les couches socio professionnelles. Plusieurs raisons justifient ce phénomène qui crée un déséquilibre certain dans les ménages.

Plus d’un ménage sur cinq au Bénin est dirigé par des femmes, soit 20% des chefs de ménage, selon les statistiques de l’INSAE au 3ème recensement général de la population et de l’habitat en 2002 (RGPH). Ce qui signifie que le phénomène de monoparentalité n’est pas à négliger. Docteur Amouzouvi Dodji, sociologue à l’Université d’Abomey-Calavi, conscient de l’ampleur que prend le phénomène de la monoparentalité au Bénin, il estime que l’on n’en parle pas assez.

Pour lui, les raisons de cette situation sont multiples et, par essence, d’ordre social. Il les lie donc à plusieurs facteurs qui sont, pour la plupart douloureux. On peut citer comme raisons, des événements tels que le décès du conjoint ou le départ de celui-ci en voyage. Mais, au-delà de ces raisons, le sociologue Amouzouvi soulève d’autres facteurs non moins négligeables. Il s’agit surtout de la problématique du divorce des conjoints, du chômage, puis la polygamie. Selon lui, du fait du chômage, l’homme se désengage généralement de ses devoirs de père de famille. Ce qui contraint la femme à prendre en charge leurs progénitures.

«Le chômage faisant mal les choses, certains hommes en arrivent à dire à leurs femmes : tu veux un enfant, je n’ai pas les moyens, entendons-nous bien, je n’ai pas l’argent, nous faisons l’enfant, mais tu t’en occupes seule». C’est ainsi qu’on pourrait caricaturer la situation de ces couples. Et la femme souvent désireuse d’un enfant, accepte ces conditions pour se retrouver seule. Pour maman kiki, divorcée depuis quelques années, rencontrée à Togoudo, «c’est une situation un peu difficile que je vis.

Cependant, je préfère ne plus me remarier pour éviter plus de problèmes. Tout comme elle, maman Adjoua résidente à Cocotomey, se confie « nombreuses sont les femmes qui, de nos jours, vivent seules avec leurs enfants sans se soucier d’un mari. J’en fais partie d’ailleurs avec mes deux enfants que je gère au quotidien ». Selon elle, certaines femmes se trouvant dans de pareilles situations préfèrent se faire aider en toutes circonstances par un homme qui sera toujours disponible pour les écouter, mais qui ne sera pas un mari. Au regard de certaines femmes bien heureuses auprès de leurs maris, c’est que ces femmes ne sont pas à considérer et il faille parfois les marginaliser. Abdoul T. et Thomas A., tous étudiants à l’Uac se confient.

« Que les parents ne créent plus des situations désastreuses laissant les enfants subir », déclare Abdoul T. d’un ton regrettable parce que fils unique, issu d’un couple divorcé. Thomas préfère ne rien regretter mais plutôt se fixer davantage des objectifs pour joindre les deux bouts parce que souffrant le martyre depuis plus d’une vingtaine d’années. Ce qui était devenu une habitude pour lui. Si Mme Yvette Séké connue sous l’appellation de Cyra, promotrice de l’Ong Love Power, spécialisée dans les questions de la vie en couple partage ces raisons citées précédemment, elle relève néanmoins qu’elles ne sont pas exhaustives.

Cyra semble d’ailleurs être plus pointilleuse sur la question. Pour elle, la raison fondamentale de ce phénomène, c’est bien l’impréparation des couples au mariage. Ce qui conduit le plus souvent au divorce. Une raison directe du phénomène de la monoparentalité. Car, pour elle, dès lors que le mariage est bien préparé, c’est-à-dire que les conjoints sont passés par toutes les étapes avant de se mettre en couple, ils auraient d’ores et déjà aplani les divergences qui pourraient, plus tard, susciter la rupture de leur union. Elle assimile d’ailleurs le mariage à une école particulière que tout candidat à la vie en couple devra fréquenter.

« Car, dit-elle, on ne tombe pas dans le mariage, mais on y entre ». Et quand c’est comme ça, Cyra pense que l’adaptation à la vie commune s’opère sans soucis. Car, en définitive, d’après ses propos, le divorce, n’arrange aucun des conjoints». Sans remettre en cause les raisons précédemment citées, le psychoclinicien Ildevert EGUE, spécialisé dans la gestion des questions de foyers, va plus loin dans son analyse sur la question. Pour lui, les raisons qui conduisent aux familles monoparentales sont à chercher dans l’incompatibilité de nos vies sexuelles, dans l’éducation des candidats à la vie en couple, l’intolérance religieuse, les ambitions démesurées avec leurs dégâts. Il y a aussi les causes imprévisibles telles que la mort du conjoint, la maladie et les invalidités pour ne citer que celles-là.

Des effets désastreux sur les enfants

Mais pour lui, les enfants issus de ces familles monoparentales ne sont pas pour autant des cancres. Il y en a de très intelligents, mais aussi des enfants qui ne supportant pas le choc de la séparation de leurs parents, sont découragés et refusent de souffrir pour faire face à la vie. Contraints alors de suivre le seul parent avec qui ils se retrouvent, puisque sans autre repère, certains enfants en arrivent à verser dans les comportements malsains. Ils pourraient alors verser dans la délinquance, la toxicomanie et bien d’autres vices. Il conclut alors que l’éducation des enfants doit pouvoir se faire avec les deux parents. Il appartient alors à l’homme d’exercer son pouvoir de chef de famille. Il pourra ainsi imposer le respect de certaines règles dans le foyer pour éviter ces situations malheureuses.

Odile Djêgui Coll.)

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 07:19

Des individus mal intentionnés ont procédé à la profanation d'une centaine de tombes au cimetière de la commune de Dangbo. Pour les autorités en charge de la gestion du cimetière, et de la sécurité dans cette localité, cette situation est inquiétante. Dans le même temps, une enquête est ouverte pour mettre la main sur les auteurs de tels actes. Plusieurs dizaines de tombes ouvertes. C'est l'aspect que présentait hier mardi 26 novembre 2012 à ses visiteurs, le cimetière de la commune de Dangbo. Malgré la proximité de ce lieu de repos des défunts avec la voie menant à l'autel de ville, des individus mal intentionnés ont réussi en l'intervalle de quelques jours à profaner plus d'une centaine de tombes. " Mes apprentis et moi avions effectué quelques travaux au cimetière dans la journée. Plus tard dans la soirée je me suis rendu compte que nous avons oublié un matériel au cimetière. Aux environs de 21heures, lorsque je suis retourné sur les lieux, j'ai aperçu des individus qui s'affairaient à ouvrir des tombes. A ma vue, ils ont pris la clé des champs abandonnant leurs outils ", a confié Jean Gnonlonfoun un maçon. Pour Joseph Affaton, responsable du cimetière rencontré sur les lieux, la profanation des tombes est une pratique récurrente au cimetière de Dangbo. " Je ne sais pas ce qu'il font avec la tête des morts. Chaque fois, ils viennent pour ouvrir les tombent et emportent certains organes prélevés sur les corps enterrés ", s'est-il désolé. Comme pour empêcher la continuation d'une telle pratique qui suscite plus d'une interrogation, le maire de la commune a très tôt mis à contribution les agents de sécurité publique exerçant dans sa localité. " Le maire m'a informé que des sépulcres ont été violés au cimetière et que cela lui a été signalé. Mes agents et moi sommes donc venus pour constater ", a indiqué l'Adjudant Chef Omer Batcho, commandant de la brigade de Dangbo. Tout en invitant les populations de la localité à contribuer à la sécurisation du cimetière, le commandant Omer Batcho a annoncé l'ouverture d'une enquête en vue de démanteler ce réseau de profanation des tombes. Rodrigue K. Tokpodounsi

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27 novembre 2012 2 27 /11 /novembre /2012 06:21

LarryUn ministre veut salir le gouvernement du Dr Boni. Il est dans un retentissement scandale sexuel qui livrera bientôt leurs secrets.

Le scandale sexuel dont il est question est en passe de secouer le gouvernement. Et le Chef de l’Etat devrait rappeler le ministre dont il s’agit à l’ordre ou le remercier. Ce ministre béninois (dont nous taisons le nom et que les victimes entendent ester en justice bientôt) a copié l’exemple d’un proche du Président américain récemment cité dans un scandale sexuel. Le ministre dont il est question est actuellement à l’honneur. En tout cas, c’est sa saison. Et les fruits tiennent la promesse des fleurs. Après avoir touché au fruit interdit, il refuse d’assumer ses responsabilités et par ses actes, il salit le gouvernement.

Le ministre béninois en question a son appétit sexuel au bureau. Il est le prototype de David Petraeus, général à la retraite ayant démissionné de la tête de la CIA pour adultère. On se rappelle, ce scandale a pris de l’ampleur avec la mise en cause du général John Allen, commandant des forces de la coalition en Afghanistan. Sa nomination au commandement suprême de l’Otan a été suspendue par Barack Obama après l’ouverture d’une enquête sur des courriels « déplacés » que le chef militaire aurait échangés avec une femme, amie du couple Petraeus.

De quoi s’agit-il ?

Le ministre béninois, encore en activité, a déjà fait deux victimes dont l’une porte une grossesse de plusieurs mois, selon les dires. La dernière aurait, sur insistance du ministre en question, été contrainte à avorter la grossesse qu’elle aurait contractée après une relation avec le « don juan ministre » dans son bureau. Et selon les témoignages de proches de la victime, le ministre l’aurait forcée ce jour-là.

Selon les témoignages d’une autre victime, le ministre l’aurait sollicité pour une action. Et la suite, elle traine aujourd’hui une grossesse… Cette  dernière fait partie des femmes victimes d’actes de violence et de pratiques abusives. Ce phénomène touche les sociétés et revêt les formes les plus horribles. La violence faite aux femmes est sans doute la violation des droits de l’homme la plus répandue à l’heure actuelle. Et au moment où les défenseurs des droits de l’homme oeuvrent pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, ce ministre béninois n’a trouvé d’autres moyens que de menacer ces victimes.

Les menaces du ministre « arroseur »

En effet, joint au téléphone pour recueillir sa part de vérité, le ministre  « arroseur » dont il s’agit n’a fait que proférer des menaces, soi-disant qu’il est ministre du gouvernement et que les femmes en question veulent « l’escroquer ». Pire, il fait croire que c’est de la « cybercriminalité », thème dont il ne maîtrise peut-être pas encore le contour. Plus grave, le ministre fait croire que la femme qu’il a contrainte à avorter le verra sur son chemin. Des menaces de m… ? Lui seul sait de quoi il parle.

Le ministre de la justice, Me Marie-Elise Gbedo et son homologue de la famille sont interpellées. Elles devront porter secours à leurs sœurs dont la vie est ainsi menacée. D’ailleurs, les victimes en question promettent de faire de retentissantes révélations sur le ministre qui n’est pas à son premier essai et dont les propos ont été enregistrés par une de ses victimes lors de son « opération in vitro » dans son bureau. Dossier à suivre.

Armelle C. CHABI  (Quotidien les 4 vérités)

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23 novembre 2012 5 23 /11 /novembre /2012 06:24

Analyse-budgetaire-dune-formation-sanitaire-publique-au-Ben.pngLe doyen de la Faculté des lettres, arts et sciences humaines (Flash) de l’université de Parakou, Adam Joseph Akpaki, jeune frère de l’ex-directeur général de l’Ortb, Julien Pierre Akpaki n’est plus.

 

Il est décédé ce jeudi 22 novembre 2012, des suites d’un accident de circulation à Biro, arrondissement de Nikki. Selon des informations concordantes, Joseph Adam Akpaki était allé superviser des activités pédagogiques quand sur le chemin de retour, il s’est retrouvé dans le décor avec sa voiture Highlander. Son corps a été rapatrié à Parakou et séjourne à la morgue.

 

Jean Claude Kouagou (Br Borgou-Alibori)

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20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 12:51

Pistolet.jpgLa Pharmacie Sainte famille de Mènontin (Cotonou) a reçu la visite des malfrats hier lundi dans la soirée. Bilan : un blessé, et plusieurs milliers de francs Cfa emportés. De sources informées, ils étaient quatre (04) voleurs armés à investir la pharmacie. Pour se montrer discrets, ils se sont constitués en binômes sur deux motos.

 

Sur les lieux, ils ont tenu en respect les employés et ont pu s’emparer selon certains témoins, des recettes de la journée et d’autres, celles de la soirée. A en croire les mêmes sources, au cours de l’opération, un employé pris de panique a tenté d’alerter les passants par des cris. Mais vite, il a été maîtrisé. Les malfrats l’ont en effet assommé à coups de crosse et réussi à le faire taire. Les voisins impuissants face aux armes n’ont pu rien faire et les braqueurs se sont sauvés sans difficulté. L’employé de la pharmacie blessé, lui, a été admis hier à l’hôpital et continue de suivre des soins intensifs. C’est bien après, qu’informée la police a débarqué et n’a fait que constater les dégâts. Selon nos sources, une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur ce cas de vol à main armée, qui relance le débat sur l’insécurité à la veille des fêtes de fin d’année.

AT

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19 novembre 2012 1 19 /11 /novembre /2012 10:22

vous-2.jpgDu désir au plaisir

Doit-on tout accepter dans les rapports amoureux ?

Cette question vient le plus souvent des femmes. Face à des pratiques, qui les rebutent ou les dégoûtent (fellation, rapport anal le plus souvent), doivent-elles céder aux propositions de leur partenaire ? Au nom de l’amour, doivent-elles tout accepter ? De plus, l’appétit sexuel est parfois plus important chez l’un des partenaires. Si l’homme désire plus fréquemment faire l’amour que sa partenaire, doit-elle s’y soumettre ?

Dans une relation amoureuse, les rapports sexuels s’accomplissent dans la recherche d’un plaisir partagé. Bien sûr dans le respect des désirs et des limites de chacun des partenaires, la femme pourra être encouragée à découvrir de nouvelles pratiques sexuelles. Mais s’il arrive qu’elle éprouve une répulsion trop importante pour passer à l’acte, il convient de se limiter à des pratiques appréciées par les deux partenaires ; sans quoi, la qualité des relations pourrait s’en trouver affectée. Dans un état d’excitation sexuelle important certaines barrières peuvent se lever, mais si elles subsistent, l’obstination d’un des partenaires peut entraîner la disparition du désir sexuel de l’autre…

Le problème de la fréquence des rapports sexuels dans le couple peut également devenir un sujet conflictuel, après quelques années de vie commune. Deux cas peuvent alors se présenter :

• Par concertation (implicite le plus souvent), le couple trouve un rythme commun ;

• Mais souvent, l’homme est plus demandeur. La frustration, qu’il éprouve peut être à l’origine de tensions à l’intérieur du couple, parfois difficiles à vivre.

Que faire ?

Tout d’abord, les besoins sexuels de chacun sont conditionnés par :

• Des facteurs permanents, dont les origines sont propres aux processus psychiques de l’individu ;

• Des facteurs plus immédiats comme la fatigue, les soucis, le stress, la maladie, la mésentente dans le couple, etc.

• La communication au sein du couple permettra souvent de sortir de ses périodes conflictuelles. Le plus demandeur peut également, en cas de non-désir spontané de son ou sa partenaire, tenter de susciter ce désir par une ambiance, des mots doux, des caresses mais attention : si l’envie ne vient pas, il faut savoir s’arrêter.

• En effet, si l’homme de son côté peut atteindre un coït égoïste, qui s’apparentera à une masturbation avec le corps de sa compagne, la femme à l’inverse ne ressentira aucun plaisir.

• Dans cette situation, la relation sexuelle n’est plus synonyme de partage et de jeux. Redoutant désormais les instants de communion érotique, qui concrétisait précédemment les instants de plaisir du couple, elle se désintéresse peu à peu de la relation charnelle, évitant désormais les caresses et les échanges de tendresse : quelque chose est cassée.

Les pratiques sadomasochistes

• Infliger à l’autre des douleurs physiques ou psychologiques peut être l’occasion d’excitation sexuelle chez certaines personnes, c’est le sadisme sexuel.

• Souffrir dans son corps ou par des attitudes dégradantes, peut également être source d’excitation et de plaisir chez d’autres, c’est le masochisme sexuel.

• Ces pratiques ne trouveront leur place dans un couple, que si les penchants des partenaires sont complémentaires. S’il n’y a pas consentement, il s’agit d’une agression sexuelle incompatible avec une sexualité basée sur l’échange et le partage.

Dr Agnès Mocquard

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Ces gestes de bad boy que les femmes adorent

Désolé de vous apprendre la nouvelle, chers hommes célibataires, mais il est possible d’être trop gentil. Et si vous lisez cet article, vous êtes certainement tombé dans le piège de suivre les règles à la lettre – vous l’avez invitée à dîner et à boire un verre, vous lui avez posé des questions, l’avez rappelée le lendemain – mais vous ne l’avez pas encore conquise.

Qu’est-ce qu’il s’est passé ? « Au début, les femmes aiment un homme gentil », déclare le Dr Robert Glover, auteur de Trop gentil pour être heureux. Mais la gentillesse peut aussi être perçue comme une faiblesse, et pour la plupart d’entre elles, c’est vraiment rebutant. Alors comment dire à une femme qu’elle vous intéresse réellement, sans aller trop loin ? Nous avons demandé des conseils au Dr Glover, ainsi qu’à des hommes et femmes célibataires, afin d’aider même les hommes les plus dociles à durcir le ton pendant un rendez-vous.

Prenez les choses en main

« Un rancard, c’est comme une danse : si vous ne la menez pas, elle devra s’en charger », affirme le Dr Glover. « La plupart des femmes ne veulent pas être aux commandes ». L’inviter à sortir est un grand pas, mais il ne suffit pas. Le Dr Glover conseille de choisir un jour et un programme précis à l’avance : « En lui demandant de sortir un jour avec vous, il reste de trop nombreux détails à régler. Proposez-lui plutôt d’aller boire un verre jeudi ». Ainsi, il ne lui restera plus qu’à décider si elle est libre ce soir-là ou pas.

Ayez un avis différent

« Rien ne m’énerve plus qu’un homme qui est d’accord avec tout ce je dis, même lorsque je vois bien qu’il n’est pas du même avis que moi », affirme Theresa M., originaire de Washington D.C. « Si je voulais entendre mes propres pensées sur le sujet, je me parlerais à moi-même. Je veux un homme qui ose me contredire ». Quitte à éviter tout conflit, autant porter une grande pancarte qui annonce Je suis une chiffe molle ! Si vous ne partagez pas son avis, dites-le lui.

Taquinez-la un peu

Une femme qui n’aime pas l’humour, ça n’existe pas. Allez-y et laissez votre sarcasme ou votre humour caustique faire mouche ; assurez-vous juste de le faire en plaisantant. Sean, un jeune homme âgé de 35 originaire de New York, témoigne du pouvoir de cette technique : « J’ai lancé quelques piques pendant mon dernier rancard. Je lui ai dit “ta tête n’est pas aussi grosse que sur ta photo de profil”, et nous avons exploité cette tension latente du premier rendez-vous à notre avantage ». En agissant de la sorte, vous aurez l’air sûr de vous, ce que, par ailleurs, tout le monde trouve excitant.

Parlez de vous

Pas besoin de racontez votre vie en long et en large, mais révéler l’une ou l’autre chose est une bonne manière de ne pas donner l’impression à la femme assise en face de vous qu’elle est en train de vous faire subir un interrogatoire. Demandez-lui plutôt où elle est née, puis quand elle a fini de vous répondre, lâchez quelques détails pertinents sur votre vie. « On ne parlait que de moi avec ce mec que je fréquentais. C’était tellement agaçant », dit Alina de Chicago. « Je ne peux être intéressante à ce point ! J’attendais qu’il me dise quelque chose. »

Ne prévoyez pas de rendez-vous trop recherchés

« Les deux ou trois premiers rendez-vous doivent être simples, du genre prendre un café. C’est à vous de payer, mais il ne faut pas que ça coûte trop cher », affirme le Dr Glover. Pour Marissa de Johnson City, dans le Tennessee, faites le contraire, et vous donnerez l’impression d’en faire trop. « Un mec a acheté des billets de concert pour un groupe auquel j’avais juste fait allusion en passant », explique-t-elle. « Il a dépensé beaucoup trop d’argent. C’était consternant, et j’avais l’impression de lui devoir quelque chose ». À l’évidence, on ne peut construire une relation sur de tels sentiments.

Ne lui faites pas trop de compliments

« Un ex me couvrait sans cesse de compliments », dit Rachel, de Harrisonburg en Virginie. « C’était à un point tel que je ne le croyais plus, et je me suis dit qu’il disait ces choses à toutes les femmes qu’il fréquentait ». L’hypocrisie n’est pas une bonne chose, mais ce n’est pas le pire : « Ça lui plaira au début, mais vos flatteries continuelles finiront par l’effrayer », indique le Dr Glover. Oubliez le déluge d’éloges habituel, et montrez qu’elle compte pour vous en lui adressant un compliment qui vient du cœur, et en étant digne de confiance.

N’essayez pas d’aller trop vite

Après un rendez-vous réussi, vous vous sentirez peut-être contraint de l’inviter (immédiatement) à sortir le lendemain… et le week-end d’après aussi. Prenez votre temps – n’en faites pas le centre de votre attention au point de la submerger. Le Dr Glover vous conseille de vous voir une fois par semaine (tout au plus) au début d’une relation.

Si vous êtes trop impatient, la plupart penseront que vous êtes libre et en manque d’affection. « Après notre deuxième rendez-vous, cet homme voulait me voir tout le temps », dit Caroline, âgée de 28 ans et originaire de Los Angeles. « J’ai commencé à me demander s’il avait une vie personnelle, mais je n’avais pas l’intention de rester dans les parages pour savoir ». Pour ne pas subir le même sort, trouvez un bon rythme, appréciez l’attente, et laissez les choses se dérouler tranquillement.

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 07:03

Python.jpgKeith Paro s’est rendu à la police de West Springfield dans le Massachusetts après les accusations proférées par sa compagne. Il nie néanmoins les faits.

 

Paro est accusé d’agression avec une arme dangereuse. Cette dernière, un serpent (photo), n’a pas survécu à son utilisation. Selon la police, l’homme a fouetté sa compagne avec un python alors qu’elle prenait un bain. Puis il a jeté le reptile dans la baignoire remplie d’eau chaude. Tout à sa colère, il a également lancé contre sa compagne un petit escalier temporaire. Il a détruit de l’ameublement et a volé plusieurs objets.

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 06:58

nue-a-la-barre.jpgÀ San Francisco, la municipalité réfléchit à sa législation à propos de la nudité en publique. Officiellement, elle n’est pas interdite. Ce sont les comportements lascifs qui sont répréhensibles. Une commission auditionne donc toute une série de personnes pour recueillir leurs avis. Une activiste a profité de ce cadre pour faire un coup d’éclat. Attention, la vidéo ne cache rien de son anatomie.

 

Au début de son audition, Gypsy Taub s’est présenté l’hôtesse d’une série de shows diffusés sur channel 29. Puis elle a expliqué que la nudité ne blessait pas les enfants : "Avez-vous déjà vu des gens pleurer en voyant des personnes nues. Cela ne les traumatise pas. Ils rigolent. Nos corps sont des dons de Dieu". Défendant la liberté d’expression et l’amour, elle a retiré sa robe et s’être montrée dans toute sa nudité. Il a fallu un certain temps avant qu’un agent ne réagisse. Au final, la jeune femme n’a pas été arrêtée. Mais elle risque des amendes.

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