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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 10:08


Si le parquet suit la confirmation de la peine prononcée par le représentant du ministère public, Sarang Coulibaly et Marième Keïta vont rester dans les liens de la détention pendant deux ans. Elles ont comparu, hier, à la Cour d’appel de Dakar pour mise en circulation et usage de faux billets de banque. Elles ont été reconnues coupables des faits qui leur sont reprochés en première instance.


Poursuivies pour faux et usage de faux billets de banque portant sur une valeur de dix-sept mille dollars, soit près de dix millions de nos francs, Sarang Coulibaly et Marième Keita, deux commerçantes d’origine guinéenne, risquent deux ans ferme. Et ce, après l’audience du 11 mai dernier, qui les avait reconnues coupables des faits qui leur sont reprochés. Elles ont été condamnées à deux ans ferme au premier jugement. Hier, devant la Cour d’appel, le procureur de la République a confirmé la peine malgré les sollicitations de la défense. Le délibéré sera rendu le 18 avril prochain.

Devant la barre, les deux dames ont nié avec la dernière énergie les faits qui leur sont reprochés. Arguant qu’elles ne se rendaient pas compte d’avoir possedé de faux billets de Banque. ‘Le change du franc guinéen en dollar s’est bien déroulé en Guinée. Et les contrôles de routine se sont passés sans incident à la frontière sénégalo-guinéenne. C’est-à-dire à Diobé ligne de démarcation entre les deux Etats’. Leurs propos sont soutenus par Me Borso Pouye, leur avocate. De l’avis de Me Pouye, le tribunal doit retenir la bonne foi de ses clientes qui n’ont pas varié dans leurs déclarations depuis le début de l’affaire.

Selon elle, le travail des soldats de l’économie stationnés au niveau de la frontière doit être remis en cause. Elles ont été fouillées à la frontière sans être démasquées. Poursuivant, elle note : ‘Quand bien même que le délit serait manifeste, ont-elles l’intention de mettre en circulation de faux billets de banque’, alors que leur commerce se porte à merveille. Rappelant les séries de malheurs qui ont frappé ces deus dames depuis leur arrestation, (l’une a perdu son mari et l’autre son fils de quinze ans pendant qu’elles étaient en prison) Me Pouye a demandé, à titre principal, la relaxe pure et simple et à titre subsidiaire, la relaxe au bénéfice du doute ou une application extrêmement bienveillante de la loi.

Mais le procureur n’est pas du même avis que l’avocate de la défense. Il est parti de son commentaire en retraçant la genèse du film qui a permis d’alpaguer les prévenues. Il confirmera du coup la peine prononcée en première instance, vue la gravité des faits et la valeur de la somme d’argent que possédaient les mises en cause.

Les faits se sont déroulés au courant du mois de mars 2010. Où deux femmes commerçantes d’origine guinéenne ont réussi à tromper la vigilance des soldats de l’économie. Elles étaient en possession de dix-sept mille dollars de faux billets en coupures de cent. Arrivées à Dakar, elles prennent contact avec les cambistes pour l’échange en francs Cfa. C’est ainsi qu’elles ont sollicité les services d’un certain Abou Racine Kâ. Avec ce dernier, elles ont réussi à échanger une valeur de huit millions de nos francs. Après la transaction, le sieur Kâ se rend compte qu’il a été roulé dans la farine par les deux dames. La nouvelle se répand. Et Cheikh Tidiane qui a eu l’écho de ce qui est arrivé à un des siens prend toutes ses dispositions. Il ne tardera pas à être approché par les faussaires. Un rendez-vous est pris par lequel un échange à hauteur de 7 300 dollars soit trois millions de francs Cfa doit être effectué. C’est au cours de l’opération que la police se présente sur les lieux. Elles seront arrêtées puis déférées au parquet. La date du délibéré est prévue le 18 avril prochain.

Gaston MANSALY (Stagiaire)

source Walfadjri

Mardi 8 Février 2011

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 10:07


La police de la zone Bruxelles-Ouest a interpellé dans la nuit de samedi à dimanche à Jette un homme de 37 ans pour avoir menacé son ex avec une arme à feu en pleine rue, a-t-on appris lundi au parquet de Bruxelles.


Dans la soirée de samedi, la victime était en train de boire un verre avec des amis dans un café, où était également présent son ancien compagnon. Lorsque la victime, après avoir quitté l’établissement, est arrivée avec ses deux amis place Reine Astrid, le suspect est apparu et a sorti une arme. Les deux amis de la victime sont intervenus et ont fait tomber l’arme, que la victime a ensuite ramassée.

Restée à proximité du lieu des faits, la jeune femme s’est présentée avec l’arme un peu plus tard à une patrouille en intervention pour une autre bagarre place Reine Astrid.

L’ex a été interpellé dans un café environnant. Ce dernier, qui s’est rebellé au moment d’être arrêté, a été mis à la disposition du parquet de Bruxelles.

Publié le 07/02

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 10:06


Une annonce pour un job d’étudiants proposait un emploi pour un homme qui devrait effectuer des tâches ménagères complètement nu. Le site néo-zélandais qui l’ébergeait a retiré l’annonce.


“ Cherche étudiant masculin pour aider son employeur naturiste à effectuer certaines tâches dans la maison, disait l’annonce. L’étudiant devra assumer des tâches tels que le nettoyage. Il devra travailler dur et être motivé et ne pas avoir peur de travailler nu. Tout le matériel est mis à disposition ”.

Le site a finalement retiré cette annonce estimant qu’elle allait à l’encontre de ses règles.

Par Lameuse.be

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 08:17

Justice.jpg

Elle a rêvé de se remarier après avoir été répudiée d’un premier mariage. Elle a fait la connaissance d’un quadragénaire qui lui a promis monts et merveilles. Seulement, son rêve a cédé la place au cauchemar.


Divorcée, elle est mère d’un enfant. Une situation qui la jette, sans aucun doute, dans le gouffre du désespoir, qui lui rend la vie amère sans désir, sans ambition, sans horizon… Depuis sa répudiation, elle n’est qu’une jeune femme qui partage sa vie entre son travail et son enfant. Rien de nouveau. Pourquoi rester partagée uniquement entre son emploi et son unique enfant ? Pourquoi ne pas penser à changer sa propre vie, ne pas la refaire ? Pourquoi ne pas se remarier avec un homme pour profiter elle aussi de sa jeunesse, de sa vie et de sa féminité ? Des questions qui lui hantent l’esprit jour et nuit. En fait, elle n’a aucun souci pour refaire sa vie avec un autre homme. Mais, cet homme peut-il jouer le rôle d’un vrai père pour son unique enfant ? C’est la question à laquelle elle n’a pas trouvé de réponse. Et pourtant, elle a décidé enfin d’ouvrir son cœur à celui qui la mérite. Sa décision semble être sans appel. Nous sommes dans la capitale de l’Oriental, Oujda, où demeure cette mère divorcée. C’est dans cette ville qu’elle a rencontré son premier mari. Rencontrera-t-elle son second mari ? En fait, elle a rencontré, par hasard, un homme, quadragénaire. Il semble sérieux. Mais est-il sincère ? Elle n’en avait aucune idée. Mais, elle a ressenti qu’il pourrait changer sa vie surtout qu’il lui a promis monts et merveilles. Elle a cru ses paroles. Seulement, au fil du temps, elle a appris qu’il n’était pas l’homme qui lui convient et que ses vrais comportements diffèrent de ceux qu’il essayait de lui montrer. Pourquoi ? Des curieux lui ont affirmé qu’il est un taulard, violent et cruel. La solution ? Elle a décidé de le quitter. Une attitude qu’il n’a pas acceptée et l’a rendu hors de lui. Depuis, il a décidé de se venger. Comment ? Elle était au centre-ville quand une R 25 s’est arrêtée devant elle. Elle n’a pas remarqué son chauffeur. Deux portières de la voiture ont été ouvertes. Deux hommes en sont descendus. Ils se sont avancés vers elle. Ils ne lui ont pas adressé la parole. Rapidement, ils l’ont saisie par les deux bras. Et ils l’ont poussée à l’intérieur de la voiture. Le chauffeur a démarré à toute allure. Qui était ce chauffeur ? C’était l’homme avec qui elle entretenait une relation. Que voulait-il d’elle ? Se venger. Elle sanglotait et les suppliait de la relâcher pour rejoindre son fils. Mais en vain. Plus d’une dizaine de kilomètres que la voiture a parcourus avant de s’arrêter, juste dans un douar situé à la périphérie de la ville. L’homme qui lui avait promis monts et merveilles l’a obligée à se dévêtir. Quand elle a refusé, il l’a violentée. À la fin, elle a cédé. Toute nue, ils l’ont violée à tour de rôle à bord de la R 25. Après, ils l’ont relâchée. L’auteur principal du viol collectif l’a menacée de se venger une fois encore si elle pense recourir à la police pour se plaindre. Et pourtant, elle a déposé une plainte auprès de la police judiciaire. Une souricière a été tendue pour mettre l’auteur principal de ce viol collectif, celui qui a promis le mariage à la victime, dans les filets de la police. À ce propos, la jeune mère a téléphoné à l’auteur principal pour lui demander de se rencontrer pour tourner la page. Il a répondu à son invitation. À bord de sa voiture, il est arrivé au lieu où ils ont fixé le rendez-vous. Les limiers l’attendaient. Dès qu’il est arrivé, ils l’ont encerclé et arrêté. Cet homme âgé de quarante et un ans a dévoilé aux enquêteurs ses deux complices, l’un âgé de quarante-quatre ans et l’autre de trente-deux ans, tous mariés et l’un d’eux est père d’un enfant.

Le 06-02-2011

Par : Abderrafii ALOUMLIKI

Source : Aujourdhui.ma

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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 09:07

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Écrit par Justin Ojouchoni EDIKOU  

Au village Boubou situé dans la commune de Savè au Bénin, un enseignant du primaire au nom de Luc Offin aurait volé dans la nuit du vendredi au samedi dernier deux coqs dans la ferme voisine. Il aurait voulu faire plaisir à son épouse de son retour du voyage le samedi a-t-on appris de sources digne de foi.
 Luc Offin, un enseignant du primaire, la trentaine environ, aurait volé de son propre chef deux coqs vendredi nuit dans une ferme voisine pour dit-il, préparer le retour du voyage de son épouse le lendemain samedi. Les témoins de son arrestation racontent que l’indélicat portait les deux coqs sur lui au moment où il subissait l’interrogatoire du chef de la localité en présence de quelques uns de ses collègues indignés. C’était à cette occasion là selon les témoins qu’il a affirmé avoir commis ce vole pour mieux accueillir la venue de son épouse le lendemain. Il aurait été gardé par les gardes du chef de la localité jusqu’à l’arrivée effective de son épouse avant d’être relâché. Les témoins racontent aussi que ceci était égal à son épouse qui aurait affiché une indifférente totale à la nouvelle.

 
Justin O. EDIKOU

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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 06:44


De nos jours, les relations amoureuses sont éphémères à cause pour la plus part du goût prononcé pour l’argent de la part de nos sœurs qui sont capables de tout. La jalousie rend souvent aveugle et pousse certains à agir avec démesure. Comme ce fut le cas de ce jeune boulanger abandonné par sa copine et qui a préféré se pendre pour ne pas la voir entre les mains d’un autre garçon.


M D puisque c’est de lui qu’il s’agit, boulanger de son état, domicilié à Kati N’Tominikoro fréquentait depuis quelques mois une demoiselle FT étudiante à l’Université de Bamako et avec qui il était prêt à tout pour la rendre heureuse. M. Diabaté considérait les désirs de sa copine comme des ordres. L’élégance et la beauté de l’étudiante ne laissaient personne indifférent à tel point que certains jeunes du quartier se posaient la question de savoir comment ce boulanger a pu s’approprier FT. Mais c’était sans savoir que cette relation pour FT n’était qu’une intrigue, car elle devenait de plus en plus capricieuse quant elle sentit que les capacités financières de MD commencèrent à s’amoindrir.

Tout le calvaire de M. Diabaté commença au début du mois de Décembre dernier quand le promoteur de la boulangerie lui retira la gestion de celle-ci. Il devait maintenant se contenter de son maigre salaire pour faire face aux immenses dépenses de sa bien –aimée. Au même moment, FT commença une nouvelle aventure cette fois-ci avec un commerçant de Kati.

Comme le dit un proverbe « donne tous tes biens à un ingrat, il réclamera ta tête avant d’être heureux ». A l’approche du 31 Décembre 2010, FT présenta ses doléances pour la fête environ 70 000CFA à MD sachant bien qu’il était en ce moment dans la galère .Malgré les explications données par le boulanger, la prétentieuse fit la sourde oreille . MD usa de tous les moyens sans succès. Finalement il s’éclipsa dans la nature .C’est le 14Janvier dernier qu’il sera de retour et pour effacer cette honte il décida de se rendre chez FT pour lui remettre la somme demandée mais aussi présenter ses excuses. Sur le chemin il aperçoit sa copine et un jeune sous un manguier agissant comme deux tourtereaux qui ne veulent jamais se quitter. Piqué par le virus de la jalousie MD rentra à la maison et eut comme solution de se donner la mort. Il saisit une corde et se rendit à 3h du matin sous ce même manguier pour se pendre. Son corps fut découvert le Samedi 15 Janvier par des passants qui à leur tour en avisèrent la police .Après des enquêtes, son enterrement a eu lieu le même jour à Kati N’Tominikoro. Le jeune boulanger vient d’être victime d’une jalousie maladive il devrait savoir que dans la vie il faut toujours donner ton amour à la femme mais pas ta confiance.

TC

La Révélation, 07/02/2011

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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 06:42


Nous sommes à Ségou dans les années 1970, et plus précisément dans le quartier de la mission catholique .C’est une localité qui renfermait un certain nombre de cabarets.


Les cabarets sont des débits de « tchapalo », cette bière locale de mil très appréciée par une catégorie de personnes qui n’a pas les moyens de s’afficher dans les bars modernes où le standing est autre.

A l’époque dans la capitale des balazan, on trouvait de la viande du phacochère, une viande au goût à nul autre pareil que les femmes du quartier achetaient, préparaient et vendaient au prix de 25francs le morceau. Aujourd’hui, on vendra le même morceau à 300francs.

Ce jour-là, dans un cabaret bondé de clients à cause de la qualité du dolo du jour, N.D qui avait bu une dose assez importante du fameux nectar, acheta un morceau. Il commença à le déguster. Quelques secondes après, il entendit la voix de son ami avec qui il est tous les jours. Ce dernier, comme d’habitude venait le rejoindre pour meubler le reste de la journée.

Ne voulant en aucune façon partager son morceau de viande avec son ami, N.D avec ses 62 ans révolus, l’avala d’un trait. La viande ne descendit pas.Le quart d’heure qui a suivi n’a pas été de tout repos pour N.D. Les yeux écarquillés, il gémissait, se lamentait et pleurait.

Les voisins qui ont assisté à la triste scène lui ont assené des coups à la poitrine aux fins de faire descendre le morceau de viande assassin, mais sans succès. C’est sur la route de l’hôpital qu’il rendit l’âme.

Gourmandise et cupidité quand vous nous tenez….

Pour avoir refusé de partager 25 francs de viande avec son meilleur ami, N.D s’en est allé pour le noir village qui n’a pas de chemin de retour. N’est-ce pas là une mort bête ou pour rien ? L’ami du défunt aurait même pu dire qu’il était rassasié. Il faut être un Dembélé pour mourir de la sorte.

Prosper Ky La Révélation, 07/02/2011

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 13:54

 

Le procès d’un homme prévenu de tentative d’assassinat s’est ouvert, mercredi, devant le tribunal correctionnel de Bruxelles. Père d’une jeune fille de 18 ans, il aurait tenté de tuer le fiancé de cette dernière, à quelques jours du mariage.


Le prévenu, Mohamed E., n’avait pas accepté le choix de sa fille. Celle-ci était tombée amoureuse, en avril 2006, d’un homme d’origine marocaine qu’elle avait choisi d’épouser. Son père, lui, avait estimé qu’il avait son mot à dire et lui avait déjà choisi un autre époux dans leur pays d’origine, la Palestine.

 

Le 31 juillet 2007, les deux jeunes gens s’étaient mis en ménage. Dès ce moment, les parents de la jeune fille n’auraient eu de cesse de les harceler.

 

Mohammed E. est prévenu de menaces et de coups et blessures envers son futur gendre et, avec son épouse, de harcèlement téléphonique sur sa fille.

 

Enfin, la nuit du 18 au 19 juin 2009, il aurait tenté de tuer le fiancé de sa fille, cinq jours avant leur mariage. La victime avait fait l’objet de tirs venant d’une voiture stationnée devant chez lui à Schaerbeek.

 

Il avait identifié la voiture comme étant celle du prévenu mais celui-ci n’était pas le tireur selon la victime. Deux autres hommes avaient été arrêtés ensuite. L’un avait reconnu avoir été présent lors des faits mais avait dit n’avoir rien commis. Quant au deuxième, il avait avoué être le tireur mais ne pas avoir agi pour le compte du prévenu.

 

Par Lameuse.be

Publié le 02/02

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 13:52


Il lui a exprimé son amour. Seulement, tout est mensonges. La preuve n’est autre que cet après-midi quand il lui a mis un somnifère dans un jus et l’a violée au studio de son ami.


Comme à l’accoutumée, Nadia se rend à l’entreprise qui l’a embauchée il y a deux ans. Sur son chemin, elle croise un jeune homme qui lui chuchote quelques mots mielleux. Elle feint de ne pas l’écouter, elle ne lui a même pas accordé un regard. Et elle se contente de poursuivre son chemin, la tête baissée. Le jeune l’a laissée tranquille. Une semaine plus tard, il la croise une fois encore. Il s’appelle Saïd. A son vingt-huitième printemps, il est un employé qui gagne dignement sa vie. Nous sommes à la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Se tenant un peu plus loin du perchoir, elle se souvient de cet après-midi de ce jour dont elle ne retient plus la date précise. Au box des accusés, se tient Saïd, il écoute le témoignage de Nadia sans la fixer des yeux. Le lendemain, à la même heure, il se plante devant elle. Il lui demande de lui accorder quelques secondes pour lui exprimer ce qu’il ressent. Cette fois-ci, Nadia l’écoute jusqu’au bout et il lui semble être de bonne foi. Il gagne sa confiance. Une conversation s’engage et le courant semble être passé entre les deux. Au fil des jours, elle finit par lui céder et l’accompagner au studio d’un ami. Leur relation se développe. Ils se rencontrent souvent durant chaque semaine. Il lui promet monts et merveilles. Il ne cesse de lui exprimer son amour fou. Depuis, elle ne rêve que de lui. Dès qu’ils le peuvent, ils se réfugient dans leur nid d’amour et profitent ensemble de quelques moments. Trois mois passent en un clin d’œil. Et ils se comportent comme mari et femme. Un dimanche, ils sont au studio. Pleins de joie, ils bavardent. Saïd lui réexprime son amour et Nadia semble être ravie d’écouter ces mots qui lui vont droit au cœur. Vers midi, le couple commence à déjeuner et une demi-heure plus tard, Nadia perd connaissance. Que lui est-il arrivé ? Saïd ne semble pas s’en inquiéter puisqu’il s’y attendait. Il avait préparé son coup. A son réveil, elle s’aperçoit que Saïd l’a déflorée. Elle reste bouche bée, elle ne savait ni quoi dire ni quoi faire. « Mentait-il et pourquoi ? » pense-t-elle. Quant à lui, il se contenta de lui assurer qu’il l’épousera . Il faut uniquement attendre l’occasion propice, lui explique-t-il. De quelle occasion parle-t-il ? Un tas de questions sans réponses se bousculent dans la tête de la jeune fille. Il ne veut pas lui avouer qu’il a mis un somnifère dans son jus. Et il tente de la convaincre qu’elle s’est donnée à lui de son plein gré. Elle n’arrive pas à trouver d’explication et fond en larmes. Il la raccompagne jusqu’au seuil du studio et lui assure qu’il l’épousera « le plus tôt possible ». Comment arriver à le croire ? Elle cherche la solution tout au long du chemin qui la mène chez elle. Mais en vain. Une semaine plus tard, elle décide de se confier à sa mère. Hors d’elle, celle-ci la frappe violemment, puis cherche Saïd, pour lui demander de réparer le déshonneur subi par sa fille. Saïd refuse. Il lui explique que Nadia l’a laissé faire de son plein gré. Ni Nadia ni sa mère ne supportent ces paroles. Nadia porte plainte. Saïd est arrêté. Parce que les enquêteurs sont convaincus que Saïd avait mis un somnifère dans un jus que Nadia a bu. Les magistrats de la chambre criminelle près la Cour d’appel ont pris ce comportement en considération et ont jugé Saïd coupable. Seulement, ils l’ont fait bénéficier des circonstances atténuantes et l’ont condamné à deux ans de prison ferme.

Le 01-02-2011

Par : Abderrafii ALOUMLIKI

Aujourdhui.ma

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 07:57

 

Depuis que sa femme a abonné le domicile conjugal pour maltraitance de sa part, Sidiki s’est retourné sur sa demi-saeur, Kh. O. pour faire d’elle « son épouse ». Ainsi, le prévenu a pris hier, 10 ans de prison pour viol et pédophilie.


L’application de la peine maxi¬male pour viol et pédophilie. Tel a été le sort réservé a Sidiki Soumaoro, poursuivi pour viol commis par une personne ayant autorité sur la vic¬time et pédophilie par le tribunal des flagrants délits de Dakar, hier. Sa victime n’est autre que sa demi¬-soeur, Kh. O. âgée de 13 ans. Mieux, son bourreau est son seul parent au Sénégal. Kh. O. travaille comme domestique chez Awa Coly qui est l’auteur de la plainte formulée contre Soumaoro. Ce, après que son domestique s’est confiée à elle.

 

En effet, lorsque le prévenu ori¬ginaire de la Guinée et ouvrier au Port s’est marié en 2006 l’époux de sa mère (père de la victime), lui a donné Kh. O. afin que cette dernière assiste l’épouse du prévenu dans les tâches ménagères. Mais que nenni, Soumaoro n’était pas le tuteur.

 

Le 15 novembre dernier, l’épou¬se du mis en cause a fui le domicile conjugal, car ne pouvant plus sup¬porter les sévices corporels qu’elle subissait de la part de son mari. Pis, ils logeaient tous les trois dans une même chambre. L’épouse partie en Guinée laissa la petite avec son époux dans une même piaule. C’est le début du calvaire de Kh. O. Sidiki commence a abusé de sa sœur. Pour effacer tout soupçon, le prévenu lui a trouvé un emploi. La victime s’ac¬tive comme domestique au domi¬cile de la dame Awa Coly. « Il a entre¬tenu des relations sexuelles à cinq reprises avec moi. La première fois, j’ai vu du sang et à cause des dou¬leurs, je ne suis pas partie au travail, Il me battait à mort, m’injuriait et menaçait de me tuer si jamais je me confiais à quelqu’un », raconte la petite à la barre. Sa patronne Awa Coly affirme : « Quand Sicliki est venu, nous nous sommes mis d’ac¬cord sur un prix. Mieux, il m’a fait savoir que Kh. O. peut passer les nuits chez moi. En outre, le même jour, il est revenu pour dire que ce n’est plus possible, sa soeur ne va pas passer ses nuits chez un inconnu. La fille est rentrée avec lui. Mais tard dans la nuit, Sidiki accompagné du gardien, frappe à ma porte pour me dire qu’il n’a pas vu Kh. O. et que c’est moi qui l’aurait séquestrée. » Le lendemain, la disparue qui a passé la nuit sur la terrasse d’Awa Coly décide enfin de rompre le silence. Donc, elle s’en est ouverte à sa patronne. Cette der¬nière l’emmène à l’hôpital en vue de vérifier les allégations de la victime. Le certificat médical a fait état d’une perte de l’hymen. Comme domma¬ges et intérêts, la partie civile réclame 30 mille francs Cfa. Le prévenu lui avance la thèse d’un complot. Il a contesté les faits qui lui sont reprochés. « Je devais la rapatrier en Guinée du fait qu’elle est une fugueuse. De plus, Kh.O. fré¬quente beaucoup d’hommes dans sa vie », se défend-il.

Si le parquet, après avoir fait la genèse des faits, a requis 10 ans de prison ferme, l’avocat de la défense a, quant à lui, demandé la relaxe pure et simple de son client.

 

Après en avoir délibéré, le tribu¬nal a disqualifié le viol commis par une personne ayant autorité sur la victime, en viol simple et pédophilie commise par une personne ayant autorité sur la victime. Puis, il a condamné Sidiki conformément au réquisitoire du procureur en plus de 30 mille francs Cfa à reverser à sa victime :

 

SOURCE : Walf Grand Place Awa FAYE

Jeudi 3 Février 2011

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