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21 août 2013 3 21 /08 /août /2013 04:20

Bac.jpgCadjèhoun, un quartier de Cotonou  a été le théâtre dans la journée d’hier, d’un braquage à mains armées. Visant une dame qui s’est vue tirer dessus deux fois de suite à bout portant, le vol a été perpétré par des bandits qui ont réussi à prendre la fuite en emportant avec eux le sac de leur victime. Gaudens Sègbo, Commissaire central adjoint de Cotonou, rappelle ici les faits : «  La dame avait quitté une institution bancaire pour une autre.

Dès qu’elle est descendue de la moto à Cadjèhoun, elle a été ciblée par ces bandits qui ont tiré  deux fois de suite sur elle à bout portant, avant d’emporter son sac. Ce sac comportait son chéquier, des trousseaux de clés, sa pièce d’identité et d‘autres documents qui n’ont pas de valeur» .Perpétré en pleine journée, ce crime vient relancer, une fois de plus, une fois encore, l’éternel problème d’insécurité dans nos villes. Tout juste après le braquage, les rumeurs allaient bon train. Certaines ont fait état d’un manque de moyens du commissariat de Cadjèhoun qui n’aurait pas permis une intervention rapide, d’autres ont cru savoir que le commissaire de Cadjèhoun ‘’aurait refusé d’intervenir parce que la zone n’est pas couverte par son commissariat’’. D’autres sources ont pour leur part avancé que l’institution braquée n’a pu être secourue pas des militaires alors que ces derniers étaient assis en face, tandis qu’au même moment des éléments de la garde républicaine disaient ne pas être concernés. Ce que balaie  Gaudens Sègbo pour qui il ne s’agit en aucun cas d’une défaillance du dispositif sécuritaire sur le tronçon, mais d’une légèreté de la part de l’institution. D’abord explique-t-il, l’institution n’était gardée ni par la police, ni par la gendarmerie, ni par des militaires, mais plutôt par des agents privés. En outre, explique Gaudens Sègbo, ces agents privés, s’ils avaient alerté de façon prompte les forces de sécurité, ces dernières auraient mis en déroute les bandits.  Car explique-t-il, « Le grand problème, c’est le reflexe d’alerte qui manque au niveau de ces structures ». Le commissaire a tout de même rassuré sur la sécurisation déjà effective de certaines banques et appelé la population au calme. Aux dernières nouvelles, la victime du braquage a été hospitalisée et se porte bien. Bien qu’il ait épargné la vie de cette dame, ce crime opéré en pleine journée vient relancer, une fois encore, une fois de plus, l’éternel problème d’insécurité auquel sont confrontées les paisibles populations. Et le fait que le dernier en date ait été perpétré à quelques encablures du domicile du président de la république béninoise ne fait que renforcer l’inquiétude.

Flore S. NOBIME

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20 août 2013 2 20 /08 /août /2013 04:46

 

Femme VioléJe l’ai raconté ensuite, mais certaines femmes gardent le silence parce qu’elles ont peur d’être stigmatisées, ou qu’elles ont intégré l’idée renvoyée par nos sociétés que si c’est à elles que c’est arrivé, c’est parce que quelque part, profondément, inconsciemment, elles l’ont provoqué, cherché, voire voulu.

Angie Epifano, la femme violée à l’automne dernier dans un dortoir d’Amherst, a raconté qu’elle entendait ses amis s’amuser dans la pièce d’à côté pendant qu’elle subissait son calvaire. J’ai récemment raconté ça à une de mes amies, qui s’est étonnée qu’Angie n’ait pas tapé sur le mur ou appelé au secours. À première vue, cette question peut sembler légitime, jusqu’à ce qu’on se fasse la réflexion qu’elle est bien moins courante lorsqu’il s’agit de femmes battues ou kidnappées, et pratiquement jamais posée en cas de vol ou d’agression.
La plupart des gens considèrent que lorsqu’on se fait agresser par exemple, donner calmement au voleur ce qu’il réclame tout en restant aux abois est un signe d’intelligence et de sang-froid, à l’image de l’attitude qu’il nous est conseillé d’adopter lorsqu’on se retrouve face à un chien agressif. Une des premières choses que l’on vous enseigne dans un cours sur la manière de réagir face à un violeur est de ne pas vous débattre ou de faire un esclandre, parce que cela pourrait vous coûter la vie.
Je ne me suis jamais battue
Moi non plus je n’ai pas crié et je ne me suis pas débattue lorsqu’à 55 ans, j’ai été violée dans mon propre lit. Les raisons étaient à la fois logiques et illogiques, historiques, complexes et puis aussi réfléchies. Il avait un couteau et j’ai compris que c’était le violeur en série qui, depuis huit mois, entrait par effraction chez des femmes dans ma ville mexicaine. J’avais entendu parler des quatre femmes qu’il avait violées avant moi. Les deux premières s’étaient débattues et avaient été frappées, les deux suivantes, ayant eu connaissance de ce qui était arrivé aux autres, n’avaient pas résisté et avaient évité les yeux au beurre noir et les côtes abîmées.
Même si l’homme qui m’a violée n’avait pas eu de couteau et que je n’avais rien su de ses autres agressions, je suis à 99,9% certaine que je ne me serais pas débattue. Je ne me suis jamais battue physiquement de ma vie, je n’ai aucune expérience en arts martiaux, et je ne me considère pas assez forte pour repousser un homme. Et puis il y avait cette abominable sensation d’inéluctabilité, de pire cauchemar qui se réalise, une acceptation: voilà, je vais être violée. Pourtant, je n’ai pas tenté de le dissuader. «Espèce de malade,» lui ai-je dis, en répétant les mots qu’il avait lui-même employé avec ses autres victimes dans une version perverse d’intimité post-viol, moment pendant lequel il avait tenté de susciter une empathie en disant à quel point il était malade.
«Tu parles trop» m’a-t-il aboyé à la figure, avant d’imiter un enfant qui couine: «Na na na na.»
Une supplique dans votre coeur
Ce sarcasme n’a pas réussi à me mettre en colère. Je n’en ressentais pas—ou peut-être n’étais-je pas en connexion avec ma colère. J’étais trop terrifiée, mon cœur bourdonnait comme un champ d’abeilles, chacun de mes organes était envahi d’adrénaline, ma peau vibrait. Peut-être les femmes qui répondent physiquement au danger possèdent-elles un instinct de combattante, une force physique, ou bien leur a-t-on appris à se défendre. Une de mes amies s’est un jour retrouvée seule à bord d’un bateau avec un homme qui tenta de la violer une fois au large. Elle lui envoya un coup de pied, sauta par-dessus bord et nagea plus d’un kilomètre et demi avant de se retrouver en lieu sûr. Il n’y a pas longtemps, à Brooklyn, je traversais la route à un feu avec cette même amie et une voiture nous a coupé la route. Elle a donné un coup de poing sur l’aile du véhicule en hurlant «connard!» J’ai admiré sa réaction. Ma réaction à moi avait été de penser que j’avais traversé au mauvais moment.
Nous sommes tous différents; toutefois, toutes les femmes que je connais, à partir du moment où elles comprennent que cela peut arriver, redoutent de se faire violer. La plupart d’entre nous, lorsque nous traversons une maison, un immeuble, un parking obscurs ou une rue déserte, avons peur des ombres, du sadique détraqué qui guette, traque, complote pour se donner du plaisir avec le sentiment de puissance violent qu’il ressentira en nous humiliant et en soumettant notre volonté à la sienne.
Et quand cela se produit pour de vrai —par un inconnu ou, bien plus probablement, une personne de votre entourage— chose qui arrive, selon les estimations, à un quart des femmes dans le monde; quand quelqu’un d’autre s’approprie votre personne pour son plaisir; quand vous le respirez, quand ses mains et ses poings et ses armes touchent votre corps; quand cet homme, dont l’intention est de prendre ce qu’il veut de vous, peu importe ce que vous pouvez ressentir, singe des positions et des actes que vous n’aviez partagés auparavant que dans des moments intimes et consensuels, alors se produit une réaction à cet écœurant détournement de l’intimité, même si elle n’est pas physique, ni verbale: c’est une supplique dans votre cœur: Ne me faites pas de mal; une imploration: Je vous en supplie, partez. Il n’est pas exact que les victimes ne disent rien quand elles se font violer. Elles hurlent sans bruit du début à la fin.
Certaines femmes gardent le silence pour d’autres raisons: la peur de n’être pas crue, la honte d’être perçue comme au mieux malchanceuse, au pire souillée, la terreur du stigmate qui va vous coller à la peau et la conscience de cette tendance humaine à rejeter la faute sur la victime pour éviter de compatir, ce qui impliquerait de s’approprier l’horreur et l’humiliation subies par une autre.

«Il avait un couteau, (connasse!)»
Mais une autre raison pousse certaines femmes à garder le silence: elles ont intégré l’idée que si c’est à elles que c’est arrivé, c’est parce que quelque part, profondément, inconsciemment, elles l’ont provoqué, cherché, voire voulu. Dans des pays encore prudes sur les questions de sexe —parmi lesquels j’inclus les États-Unis et le Mexique— les femmes ne peuvent pas avouer sans complexe qu’elles ont été victimes de crimes sexuels. Moi j’avais un avantage. À 55 ans, j’avais été féministe pendant toute ma vie d’adulte; je refusais de me sentir coupable et il n’était pas question que je me laisse aller à un tel sentiment. Pourtant, je redoutais que l’image de la femme violée, de la victime, ne me colle jusqu’à la fin de mes jours. Heureusement mon indignation ne tarda pas à en triompher: je n’avais rien fait dont j’aurais dû avoir honte, bon sang, contrairement au violeur. J’ai signalé l’agression et je l’ai racontée en détail dans le journal de la ville. Cinq jours après la parution de l’article, le violeur a été arrêté puis condamné.
Avant le procès, le juge a ordonné que je voie un psychologue nommé par le tribunal pour évaluer si l’agression m’avait porté préjudice. Le psychologue, confus d’être chargé d’une telle mission, s’excusa au nom de son «pays arriéré.» Il m’expliqua que si le violeur était reconnu coupable, la sévérité de la peine serait déterminée par les dégâts qu’il avait provoqués. Je lui ai dit que je ne voulais plus dormir, ni même vivre, dans la maison que j’avais construite et aimée; que je n’arrivais plus à trouver le sommeil et que je me réveillais souvent en hurlant, convaincue d’une présence malveillante dans la chambre. Plus tard, pendant le procès, la juge m’a demandé pourquoi je ne m’étais pas débattue. Je lui ai répondu que je savais ce qui était arrivé aux autres victimes. Je n’ai même pas pensé à lui jeter à la figure : «Il avait un couteau, (connasse!)»
Notre société dans son ensemble entretient de vieux préjugés inconscients. La femme est toujours au moins complice du viol, voire son instigatrice, parce qu’elle s’habille ou se comporte de façon provocante, parce qu’elle ne fait pas assez attention, parce qu’imprudemment, elle marche dans une rue déserte, la nuit ou le jour, parce qu’elle s’enivre, qu’elle part d’une fête avec un mec, qu’elle accepte une invitation, qu’elle est trop naïve, confiante, sexy. Simplement en étant des femmes, nous sommes séduisantes et pire encore: tentatrices. En suivant ce genre de raisonnement, la burqa semble une solution raisonnable.
Dans des sociétés comme la nôtre qui acceptent les mythes sur le viol —le viol par une personne de l’entourage est provoqué par des «signaux pas clairs» envoyés par la femme, les violeurs ne peuvent pas contrôler leurs pulsions sexuelles, les femmes mentent quand elles disent qu’elles se sont fait violer, les femmes invitent au viol par leurs façons de se comporter ou de s’habiller— les hommes sont plus susceptibles de passer à l’acte parce que ce type de croyances rend le viol presque acceptable.
Pendant mon procès, l’avocat du violeur en série a lu sa déposition. Il y disait qu’il buvait des bières puis entrait par effraction chez des femmes et «faisait quelques bêtises.» Je ne doute absolument pas que c’est exactement comme ça qu’il considérait ses crimes. Je ne doute absolument pas que de nombreux violeurs pensent la même chose: «Na na na na na.» Arrête de pleurnicher; pas de quoi en faire un drame! On a demandé au violeur s’il voulait ajouter quelque chose à sa déposition, et il a dégoisé pendant une heure. Parmi moult déclarations apitoyées sur son propre sort, voici la plus mémorable: «Ces femmes ruinent la réputation de ma famille.»
Comment ose-t-on leur causer tous ces ennuis?
C’est la moindre des choses.
Beverly Donofrio

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20 août 2013 2 20 /08 /août /2013 04:11

Et à l’exception des rares cas désignés d’extrême stérilité, les chances de tomber enceinte représentent une grande diversité de méthodes et solutions à en profiter pleinement, à condition de bien suivre les conseils donnés dans ce cadre. Pour les couples qui n’ont pas vu naître encore leur fruit d’amour, il y a des trucs pour tomber enceinte sous forme des techniques, régimes et même des bonnes vieilles recettes de nos grandes mères…

Trucs pour tomber enceinte : bien faire l’amour d’abord !

Faire l’amour ne doit pas se passer mécaniquement comme un devoir de la vie conjugal.

Aller donc au septième ciel en procurant au partenaire de fortes sensations ainsi qu’une bonne éjaculation et orgasme à la fin dur rapport sexuel aident beaucoup à motiver les facteurs favorisant une rencontre sûre entre les spermatozoïdes et l’élue ovule.

Et cela ne se permet pas que par ces démarches citées :

  • choisir le bon moment pour faire l’amour selon la période fertile chez la partenaire;
  • faire l’amour régulièrement, surtout dans la période des trois jours avant et après l’ovulation;
  • ne pas perturber son esprit avec le souci de tomber enceinte coûte que coûte;
  • prolonger le moment du rapport sexuel ainsi que les préparations nécessaires avant de passer à l’acte (caresses, baisers, mots doux…);
  • adopter les positions idéales lors du rapport (missionnaire, levrette, cuiller…) pour une profonde pénétration afin de rapprocher la distance entre le sperme et le col de l’utérus;
  • lever les jambes durant dix minutes au moins pour faciliter la tâche des spermatozoïdes à la quête des ovules!

Trucs de grand mère pour tomber enceinte : l’Alimentation

Adopter une alimentation saine procure beaucoup d’aide aux couples qui désirent avoir un bébé. De ce fait, un bon régime accompagné d’un contrôle du surpoids et un peu de sport aident beaucoup les couples qui veulent avoir un bébé afin d’augmenter la fertilité et lutter contre les troubles de l’ovulation. On conseille dans ce cadre :

  • la consommation de plus de fibres (fruits, légumes, pain complet, riz, pâtes…) et aussi des protéines végétales (lentilles, petits pois, soja, amande…) sans oublier les produits laitiers non écrémés. Le Fer et les vitamines C et B9 naturels se considèrent plus bénéfiques;
  • la consommation de moins des protéines animales (viande, œufs…), des produits sucrés et industriels comme les pâtisseries, outre que les acides gras.

    Florence Bayala

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 05:29

 

Miss et dauphineGertrude Nadia Sèna Dossa a arraché, dans la nuit de samedi au dimanche 18 Août, au Palais des Congrès de Cotonou, la couronne de la plus belle fille du Bénin. C’était dans le cadre du concours de beauté, Miss Bénin 2013. Pour ce qu’on peut savoir sur elle, Nadia  est étudiante en première année de communication des entreprises, âgée de 23 ans, avec 1,70 m de taille et un poids de 60 kg. Simple, ambitieuse, passionnée de lecture et de promenade. « Au cours de mon mandat d’un an, je ferai des séances de sensibilisations en direction des jeunes sur le Sida, les conséquences des avortements provoqués et toutes maladies qui minent l’épanouissement des jeunes. En plus, j’irai au secours des enfants déshérités et orphelins en leur offrant des dons », a-t-elle déclaré pour pointer du doigt les missions qu’elle s’engage à accomplir une fois sacrée. La Miss a pour première dauphine mademoiselle Marnette Olphyse Concilia Cakpo, titulaire d’une licence en management (22 ans, 1,71 m et 58 kg) et pour deuxième dauphine mademoiselle Boné Chantal Akpo, (22 ans, 1, 77 m et 60 kg). Pour le ministre béninois de la Culture, de l’Alphabétisation, de l’Artisanat et du Tourisme, Jean Michel Abimbola, l’élection de «Miss Bénin 2013» est un rendez-vous annuel de célébration de la beauté féminine béninoise. «Le concours de l’élection Miss au Bénin, est un cadre privilégié de valorisation du patrimoine artistique, culturel et touristique. Par son élection, nous donnons mandat à Mlle Gertrude Nadia Sèna Dossa, pour devenir ambassadrice de beauté du Bénin dans les rencontres du monde de la beauté de la sous-région et d’ailleurs», a déclaré l’autorité ministérielle.

Teddy GANDIGBE

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16 août 2013 5 16 /08 /août /2013 05:06

 

talons-hautsIls affinent les jambes, mettent en valeur les fesses : les talons hauts vous rendent plus belles. Attention aux dégâts cependant : pieds cornés, bosses sur les orteils, maux de dos, pathologies diverses…. les conséquences peuvent nécessiter l’intervention chirurgicale. Les talons augmentent le dénivelé entre l’avant et l’arrière du pied. Les talons augmentent le dénivelé entre l’avant et l’arrière du pied. De nombreuses études pointent les dangers de porter des talons hauts.
Quels sont les risques encourus si on porte des talons hauts tous les jours ? Quelles sont les conséquences à court et à long terme ?

Daniel Benjamin : Les femmes ne sont pas censées marcher percher sur des talons de plus de 6 centimètres toute la journée, cela a plusieurs conséquences. Tout d’abord on note des problèmes de rétractations musculaires, notamment au niveau des muscles du mollet ou du tendon d’Achille. Ce type de chaussures altèrent la démarche. Ces fragilités peuvent être la cause de tendinites à partir du moment où l’on repasse sur des chaussures plates. Ensuite, cela impact l’avant du pied. Les talons augmentent le dénivelé entre l’avant et l’arrière du pied, donc il y a plus de charge sur l’avant du pied. Cela entrave le bon déroulement du pas et de la marche. Si jamais on a déjà des pathologies héréditaires dormantes comme l’hallux valgus (la bosse sur le gros orteil), les talons sont un facteur aggravant. On peut voir apparaître des pincements nerveux dans l’avant-pied, des problèmes au niveau de la partie plantaire, des formes arthropathie dégénératives au niveau du pied… Mais aussi cela impacte le dos. En portant des talons, les femmes sont sur la pointe des pieds ce qui accentue l’antéversion du bassin. C’est-à-dire que le bassin plonge plus vers l’avant pour faire ressortir les fesses.

Comment soigner ces problèmes ? Dans quel cas une intervention chirurgicale est-elle nécessaire ?
Il existe toute sorte de traitements. Les déformations de l’avant pied, comme l’hallux valgus, sont des maladies héréditaires qui sont très nettement accentuées et accélérées par le port de talons hauts. Si le stade est trop important, une intervention chirurgicale est nécessaire, car on ne peut plus se chausser. Cependant beaucoup de pathologies peuvent être soignées par des podologues, rhumatologues, kinésithérapeutes … Quelles sont les recommandations pour bien choisir ses talons : hauteur, âge, fréquence pour les porter ? Entre 10 et 12 cm, ce sont des talons à porter de façon occasionnelle : deux/trois fois par mois. Entre 6 et 10 cm, il ne faut en abuser même si cela est un peu mieux pour vos pieds et votre dos. L’idéal est de porter des talons compris entre 3 et 5 cm. Il faut savoir que plus le talon est fin plus la cambrure de la chaussure est important et donc plus les dégâts sont importants. Il faut privilégier les talons compensés. Il vaut mieux attendre d’avoir fini sa croissance pour porter des talons hauts. Car pendant cette période l’appareil moteur est très sensible à ces variations et cela peut avoir des conséquences à l’âge adulte.
L’esthétisme imposé par la mode est-il compatible avec une bonne santé de nos pieds ?
Non, les deux sont incompatibles. A partir du moment où les talons sont de plus de 8 centimètres, la santé du pied ne peut pas être bonne. Certes, il existe des minis semelles orthopédiques pour essayer de préserver le pied, mais ce n’est une solution que par défaut. C’est juste un compromis avec des patientes qui ne veulent pas arrêter de porter des talons hauts.

Propos recueillis par Manon Hombourger

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9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 04:51

homme-desabille.jpgLa scène s'est passée la veille de la fête de ramadan, donc le mercredi 7 Août 2013 tard dans la nuit. Une travailleuse de sexe a déshabillé un "Djakpata" à Ménontin.

Profitant de l'ambiance des belles de nuits, le militaire Djakpata a voulu satisfaire sa libido au détour d'une pose de l'équipe stationnée dans les encablures des feux tricolores de Mènontin non loin de Bénin marché. Après le "seul coup" appliqué à la travailleuse de sexe qui n'attend que sa pitance, le militaire "Djakpata" a voulu user de trafic d'influence pour dribbler la "TS" qui est une ancienne et très expérimentée du métier. Devant le refus de l'agent de remettre les sous pour mettre fin à la polémique, la travailleuse de sexe n'a pas hésité à saisir le militaire par les colles et lui administrer des paires de gifles avant de déchirer son treillis. Avant l'alerte à ses camarades qui l'attendaient pour continuer la patrouille, la travailleuse de sexe de nationalité togolaise a pris la clé des champs. C'est alors que la victime a informé ses collègues qui ont lan cé une chasse pour retrouver la frondeuse. Ces dérives sont à décourager avec la dernière rigueur pour ne pas jeter du discrédit sur l'opération "Djakpata" déclenchée pour renforcer la sécurité des paisibles populations.

 

Par Les 4 vérités

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7 août 2013 3 07 /08 /août /2013 04:55

 

Oket BayaL’artiste béninoise, Oket Baya, de son vrai nom Catherine Tokpo semble très remontée contre le gouvernement. Dans une sortie médiatique faite hier, elle a clairement extériorisé ses ressentiments. Selon ses explications, en effet, le gouvernement, à travers le Ministère de la culture l’a tout simplement abandonnée dans ses souffrances après le malheureux accident qu’elle a eu l’année dernière avec 11 de ses compères. Mais, apparemment, les faits la confondent. La preuve, déjà en 2012, l’année où elle a eu l’accident, suite à une demande qu’elle a adressée au Fonds d’aide à la culture, elle a reçu par deux fois de cette institution une somme de 200.000 Fcfa. Soit au total 400.000FCFA. En 2013, a révélé un responsable du Fonds, plus précisément le 26 juin 2013  dernier, elle a renouvelé sa demande d’aide. Le Conseil d’administration, lors de sa session de juin, a donné un avis favorable à sa demande. Spécialement, il lui a été débloqué une somme de 500.000FCFA même dans un contexte où les textes régissant l’instance ne permettent pas de dépasser la barre des 200.000 FCFA pour appuyer un artiste malade. Au total donc, l’artiste a d’ores et déjà perçu une somme globale de 900.000FCFA du Fonds d’Aide à la culture comme l’attestent d’ailleurs les différents états sur lesquels elle a signé. Il faut préciser, à toutes fins utiles, que le véhicule par lequel les 12 artistes avaient eu l’accident étant assuré, la maison d’assurance, précisément l’Africaine des Assurances a également supporté les artistes accidentés, dont la plaignante, Oket Baya dans leur mésaventure. Au regard de ces faits, on peut affirmer sans risque de se tromper qu’il y a des non-dits dans les plaintes que formule l’artiste Oket Baya. Affaire à suivre donc.
 

Donatien GBAGUIDI

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6 août 2013 2 06 /08 /août /2013 05:41

 

Blaise Ahanhanzo-Glèlè1Dans le souci d’associer toutes les couches socioprofessionnelles au programme du 10MAA cher au chef de l’Etat, le ministre Blaise Ahanhanzo Glèlè a rencontré ce lundi les opérateurs économiques privés de Cotonou. Les échanges ont eu lieu à Azalai Hôtel de la Plage.

Entouré pour la circonstance de la Représentante Résidente du PNUD au Bénin, des membres de son cabinet et accompagné du Directeur général des forêts et ressources naturelles (DGFRN), l’autorité ministérielle a insisté sur la nécessité pour chaque structure d’avoir un périmètre reboisé. Et puisqu’il faut des moyens pour entretenir les plants, le MEHU a lancé un appel de soutien aux structures. « L’environnement est commun à nous tous et chacun doit veiller à sa préservation », a rappelé Blaise Ahanhanzo Glèlè. Selon lui, c’est un programme à base communautaire et qui est structuré autour de trois axes (IEC: Information-Education-Communication, Appui au reboisement et Appui technique). La recherche du gain facile et les activités humaines ont largement favorisé la destruction du couvert végétal. Et seul, l’Etat et le PNUD, partenaires privilégiés ne peuvent pas faire face à sa reconstruction. Le MEHU a, par ailleurs, pointé du doigt la situation alarmante de Karimama et Malanville dans le septentrion qui sont des portes d’entrée du désert; d’où l’urgence de constituer la ceinture verte. Toute chose qui a un coût très important. C’est donc la raison d’être de ce partenariat public-privé qui permettra aux institutions comme : les banques, les GSM, les sociétés publiques et privées non seulement d’acquérir et de reboiser des périmètres, de choisir certaines artères de nos villes et faire des espaces vert qui porteraient leur nom à titre publicitaire. C’est d’ailleurs sur cet aspect qu’insistera Madame Nardos BEKELE-THOMAS, la Représentante Résidente du Pnud au Bénin qui a souhaité que chaque structure puisse adhérer à l’idée. Sur place, plusieurs institutions ont rassuré qu’elles feront ce qui est de leur ressort pour que le bilan du programme, au bout de quelques années, soit largement positif.

Teddy GANDIGBE

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5 août 2013 1 05 /08 /août /2013 05:36

Tougan AmassèLa mort a encore frappé. Une des voix les plus admirées de la musique traditionnelle s’est éteinte. Tougan Amassè est son nom. A l’aube du jeudi dernier, aux environs de 5 heures, l’artiste     a rendu le tablier de la vie. C’était au Centre de santé  départemental du Zou-collines de  Goho à Abomey. Selon les informations reçues des sources proches de la famille, Tougan Amassè est mort des complications de la prostate. On apprend, en effet, selon les mêmes sources que l’homme, après avoir été diagnostiqué en 2012 malade de la prostate,  a subi une opération chirurgicale. Cette intervention chirurgicale a réussi, selon les témoignages de la famille. Mais depuis quelques mois, des complications de la maladie ont été notées. Aussitôt, les parents l’ont conduit dans le même hôpital où il avait subi l’intervention chirurgicale. Affaibli également par le poids de l’âge, l’artiste n’a pas pu résister aux nouveaux soins qui lui ont été administrés par ses médecins traitants. Il y a succombé après plusieurs mois d’hospitalisation. Aussitôt, son corps a été déposé à la morgue de Canan, un arrondissement de la commune de Zogbodomey dans le département du Zou.

Qui est Tougan Amassè ?
Né en 1931 à Canan, dans la commune de Zogbodomey, Tougan Amassè est un des précurseurs du rythme «zinli». A ce titre, il est reconnu comme le premier artiste à sortir un disque sur ce rythme.  Et c’est justement pour cela qu’il a été le premier artiste à être reçu sur l’émission à grande écoute de la chaîne de télévision privée Canal 3 Bénin connue sous le nom de «Hanlissa » animée par l’animateur Aubin Akpohounkè. Adulé par le public, l’homme n’a pas pu échapper au piège de la polygamie. Père d’une dizaine d’enfants, Tougan Amassè a succombé à une prostate qu’il trainait depuis plusieurs années déjà. Il laisse derrière lui, deux veuves.  Il a aujourd’hui à son compteur discographique, plus d’une dizaine de disques.

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30 juillet 2013 2 30 /07 /juillet /2013 04:17

 

Le quartier Zogbo à Cotonou a été ce lundi, le théâtre d'un échange de tirs entre les hommes en uniforme et les hors-la-loi. Bilan, trois malfrats abattus.

Selon les informations, les forces de l'ordre auraient été informées quelques jours plus tôt d'une opération que ces hors-la-loi préparaient dans la ville de Cotonou. Du coup, les éléments de " Recherches, Actions, Interventions et Dissuasions " (Raid) ont pris les mesures adéquates pour prendre ces ratés sociaux dans leurs mailles. Une fois en face du magasin de boisson ciblé, les malfrats s'apprêtaient à pénétrer la boutique lorsque les forces de l'ordre sont intervenues. Face à ces hommes en noir, les bandits ont très tôt ouvert le feu, ce qui a suscité la réplique des forces de l'ordre. Après des échanges de tirs, trois braqueurs ont été abattus. Le plan des malfaiteurs a été donc '' court-circuité'' par les hommes en uniforme au quartier Zogbo hier à Cotonou.

Charles Honvoh 
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