Cep 2013 : 2 candidats renvoyés à Porto-Novo

Au centre de composition de Ouinlinda à Porto-Novo par contre, deux candidats ont été renvoyés pour défaut de pièce d'identité nationale. En effet, aux dires du chef centre de cette école, seuls les candidats libres composent dans ce centre. Ils sont donc sensés être détenteurs de la carte d'identité nationale en cours de validité. Malheureusement, les deux candidats exclus n'avaient que leur carte d'identité scolaire, une situation qui, selon le chef centre ne respecte nullement la législation en vigueur. Les candidats ont donc été éconduits purement et simplement.

Charles Honvoh

·         Le centre d'Aglangandan inondé

Les dernières pluies qui se sont abattues sur Cotonou et ses environs ont inondées plusieurs établissements privés et publics dont ceux qui servent depuis hier de centre d'examen. C'est le cas d'aglangandan dans la commune de Sèmè-Podji, à quelques de la brigade de gendarmerie de la e localité, où   les candidats se voient obligés d'affronter les affres de l'inondation.

Candidats, surveillants et les responsables du centre de composition d'Aglangandan ont les pieds dans l'eau depuis hier. Ils n'ont pas le choix puisque la cour de l'école choisie pour abriter les compositions de l'examen du certificat d'étude primaire, pour le compte de cette année 2013 est inondée depuis quelques jours. Très tôt ce lundi, ces candidats accompagnés de leurs parents ont pris d'assaut le centre d'examen où le constat était bien décourageant. Les usagers ne manquent certes pas d'essais de solution. Des briques sont donc disposées de l'entrée de l'école jusqu'aux devantures des salles de classe créant ainsi des itinéraire qui permettent aux candidats d'accéder à leur salles de composition. Pour un parent, rencontré, il est encore plus urgent de suivre les enfants afin de l'aider à traverser cette eau stagnante qu'ils pourraient craindre. " En dépit des réunions avec les autorités de l'école et les appels aux autorités communales et du ministère, rien n'a été fait pour pallier ce mal ", a-t-il déploré. Toutefois, il insiste que quelque chose doit être faite afin que   les années à venir l'on n'assiste pas aux mêmes situations.